La France Insoumise et le Rassemblement National critiquent l'absence de liberté de choix face à la vaccination<!-- --> | Atlantico.fr
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Marine Le Pen
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©AFP

Coronavirus

Les deux extrêmes du champ politique s'accordent sur ce point

"Recul grave des libertés individuelles, déconstruction de l’Etat, liquidation de notre système de protection sociale: la feuille de route de Macron est claire." écrit Marine Le Pen sur son compte Twitter après l'annonce de l'obligation du pass sanitaire pour accéder aux lieux publics de loisirs, et aux transports longue distance faite par Emmanuel Macron lundi soir.

"Ils étaient applaudis à 20h, considérés comme des héros du quotidien, toujours là malgré des salaires faibles et des conditions difficiles. Ils sont maintenant culpabilisés, menacés de ne plus être payés, dans une brutalité indécente. Quelle ingratitude !" ajoute Marine Le Pen, toujours sur Twitter à propos des soignants.

La droite extrême est pourtant divisée sur le sujet. Exemple avec Robert Ménard qui écrit sur Twitter : "Je comprends que le #PassSanitaire puisse choquer. Mais veut-on retrouver oui ou non une vie normale ? #Macron20h" et "À la tête de Reporters sans frontières, j'ai connu des régimes véritablement dictatoriaux. Sur le terrain. Je peux vous dire que ça n'a rien à voir avec la République de M. #Macron, que j'appelle pourtant à battre aux prochaines élections. #PassSanitaire"

Même tonalité au sein de la France Insoumise : "En rendant obligatoire le vaccin pour les soignants puis le pays sous forme de généralisation progressive du passe sanitaire, @EmmanuelMacron dessine une société du contrôle et de la discrimination généralisé" écrit Eric Coquerel sur son compte Twitter.

"L'équipe qui a raconté mille foutaises sur les masques, les tests et tout le reste n’a plus grand chose de convaincant, ce sera pour le vaccin comme pour le reste : à la matraque" ajoute, de son côté, lui aussi sur Twitter, Adrien Quatennens.

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