Johnny Hallyday accusé : "il m'a violée" raconte Adeline Blondieau <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Faits divers
Johnny Hallyday accusé : "il m'a violée" raconte Adeline Blondieau
©Reuters

Coup de tonnerre

L'ex-femme de la star a lancé cette accusation mardi devant le tribunal alors qu'elle a engagé une action pour diffamation contre Johnny.

Ce devait être un procès banal dans lequel Adeline Blondieau poursuivait Johnny Hallyday pour diffamation. Sauf que ce mardi en pleine audience dans la salle du tribunal correctionnel, la star de "Sous le Soleil" a fait une déclaration étonnante. "Il m'a violée quand j'avais 14, 15 ans, chez mes parents" a-t-elle lancé. 

Devant le juge, Adelin Blondieau a décrit un Johnny "infidèle, alcoolique et violent". "Il a abusé de moi. On n'en a jamais parlé lui et moi car il s'agissait «d'un secret très violent, mais qui nous liait aussi d'une certaine façon" a-t-elle encore raconté. Dans sa plaidoirie, l'avocat de Johnny Hallyday, Me Arnaud Albou, a indiqué que "nous ne pourrons jamais savoir qui dit la vérité", indiquant qu'Adeline Blondieau n'a jamais déposé plainte pour ces faits, qu'elle n'avait jamais évoqués jusqu'alors. Malgré cette accusation, le tribunal a du analyser le dossier pour lequel elle demandait réparation à "l'idole des jeunes".

Elle a en effet poursuivi Johnny pour diffamation après la parution de l'autobiographie "Dans mes yeux", dans laquelle le chanteur affirme que la comédienne "hystérique et violente" débarquait "chaque nuit pour jouer avec le feu que j'étais". "Elle est venue une nuit et m'a dit: 4ça y est, tu sais, j'ai 18 ans, épouse-moi' Au lieu de lui mettre une claque et de l'envoyer dans sa chambre, j'ai laissé faire et je me suis fait prendre au piège" écrit Hallyday. Une version que la jeune femme conteste. 

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !