Grenoble : un des deux professeurs accusés d'islamophobie constate l'absence de soutien des autres professeurs<!-- --> | Atlantico.fr
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Klaus Kinzler
Klaus Kinzler
©Capture d'écran RMC/BFMTV

Solidarité

Son nom et celui de son collègue ont été affichés à l'entrée de l'école, ceci alors qu'il a fait l'objet d'une campagne de diffamation sur Facebook

Klaus Kinzler l'un des deux professeurs accusés d'islamophobie à Science-Po Grenoble, enseigne à l'IEP depuis 25 ans. Il participait à la préparation d'une journée thématique sur racisme, islamophobie, antisémitisme en novembre.

Puis après une controverse entre enseignants, une partie "radicalisée" des étudiants "a lancé une campagne de dénigrement et de diffamation sur Facebook, en faisant de moi un extrémiste de droite et un islamophobe" explique-t-il cité par Europe 1.

 Kinzler fustige l'attitude de ses collègues, dont "une bonne partie ne me soutiennent pas ou pas vraiment". Ces derniers, estime-t-il, "sont très loin à gauche et ont plutôt ont des sympathies pour ceux qui défendent le terme islamophobie". 

Il  dit ne pas vouloir porter plainte contre les étudiants. "Je n'ai rien contre eux. Moi, j'aime les jeunes et j'aime bien discuter avec eux."

"J'ai presque plus envie de porter plainte contre ceux de mes collègues qui, publiquement, m'ont sans aucun fondement accusé de harcèlement et d'atteinte morale violente, uniquement parce que j'ai exprimé un différend dans un dialogue interne par mail avec une collègue".

Il a dit à BFMTV ne pas avoir peur, et être droit dans ses bottes

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