Face au véto de Macron à la fusion d'Agir avec Horizons, Edouard Philippe ne mâche pas ses mots<!-- --> | Atlantico.fr
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Edouard Philippe
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©AFP

Mauvaise humeur

Le maire du Havre ne veut pas qu'on l’emmerde

Edouard Philippe a lancé samedi les 100 premiers comités municipaux de son parti, Horizons. L’ancien Premier ministre est très concentré sur l’installation de sa formation. Mais celle-ci a connu un revers : le chef de l’Etat s’est opposé à sa fusion avec Agir constate l'Opinion.

Le maire du Havre n’apprécie pas. « Je ne veux pas être ministre. Je ne veux pas aller à l’Assemblée. Je ne demande rien. Mais je n’ai pas envie qu’on m’emmerde, puisque c’est un terme à la mode », dit-il à l’Opinion.

Autour de la table, alors que le sujet du jour portera sur l’entrée du chef de l’Etat dans l’arène présidentielle, un siège restera vide : celui d’Edouard Philippe. 

"Désormais en dehors de la maison commune, Edouard Philippe est dans la construction d’un bras de fer. S’il demeure un intérêt commun – l’élection dans la foulée de celle d’Emmanuel Macron d’une majorité présidentielle – il y a, au sein de celui-ci, des intérêts divergents. En clair, les élections législatives de juin pourront provoquer quelques frottements en macronie." écrit l'Opinion

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