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Et pendant ce temps-là, aux Pays-Bas, l'extrême droite donne aussi de la voix
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Hollande de droite

Le parti d’extrême droite néerlandais a provoqué l'explosion de la coalition gouvernementale.

Le premier tour de l'élection présidentielle française a logiquement occulté un autre évènement politique de grande ampleur.

Aux Pays-Bas, le Premier ministre Rutte a déposé sa démission ce lundi matin à la Reine.lI avait convoqué ce lundi matin un conseil des ministres extraordinaire qui devrait ouvrir la voie à des élections législatives anticipées, après l'échec samedi des négociations sur la réduction du déficit public.

L'accord gouvernemental conclu entre le parti libéral (VVD) de Mark Rutte et le CDA de Maxime Verhagen (qui forment une coalition gouvernementale de centre-droit avec le parti d'extrême droite de Geert Wilders) n'est donc plus d'actualité. Wilders a rompu toutes négociations. La première figure de l’extrême droite néerlandaise a déclaré que son "parti ne pouvait en aucun cas être à la hauteur des demandes de l'Union européenne". Selon lui, "les coupures imposées par l'Union toucheraient particulièrement les classes les plus âgées de la population."

 Les Pays-Bas n'ont désormais ni budget, ni gouvernement. Des élections législatives anticipées seront prochainement organisées. Reste à savoir si la réponse sera assez rapide pour éviter aux Pays-Bas la perte d'un triple A qu'ils ont su conserver si longtemps.

Lu sur Businessinsider.com

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