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Essai clinique mortel à Rennes : l'entreprise Biotrial mise en cause par l'enquête judiciaire
©Reuters

Responsabilité

Toutes les personnes volontaires du groupe auquel appartenait Guillaume Molinet, décédé le 17 janvier, ont souffert d'effets indésirables graves et leur prise en charge n’a pas été immédiate.

Selon les informations dévoilées lundi soir par le site du Figaro, plusieurs éléments de l’information judiciaire menée par les gendarmes mettent en lumière "les dysfonctionnements observés dans l’entreprise rennaise qui menait l’essai, Biotrial".

Toutes les personnes volontaires du groupe auquel appartenait Guillaume Molinet, décédé le 17 janvier, ont souffert d'effets indésirables graves et leur prise en charge n’a pas été immédiate.

Les perquisitions ont également permis aux enquêteurs de constater que les médicaments donnés aux volontaires étaient périmés depuis trois mois, ajoute Le Figaro.

Par ailleurs, les perquisitions effectuées à l’agence du médicament (ANSM) ont permis de saisir des téléphones portables. L'analyse de 263 SMS échangés par des cadres de l’agence est "édifiante". Elle montre comment l’ANSM n’a cherché qu’à se dédouaner d’avoir validé cet essai, révèle le quotidien. 

>>>> À lire aussi : Essais cliniques : sommes-nous tous devenus des cobayes de l’industrie pharmaceutique ?

Lu sur Le Figaro

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