International
En Arménie, Valérie Pécresse s’inquiète pour les chrétiens d’Orient
Reçue comme un chef d’État
Pendant les trois jours de son déplacement, la candidate LR a été reçue comme un chef d’État par le président de la République d’Arménie, Armen Sarkissian, le président du Parlement Alen Simonyan, le ministre des Affaires étrangères Ararat Mirzoyan, et même le Catholicos, le patriarche de l’Église arménienne, qui lui a accordé une audience dans sa résidence d’Etchmiadzin, à quelques kilomètres de la capitale raconte Le Figaro.
Le choix de l’Arménie est une initiative de la candidate, prise dès le jour de sa victoire à la primaire, le 4 décembre. Elle l’a dit à Bruno Retailleau, très investi sur le sujet. Le sénateur a profité d’un passage du ministre des Affaires étrangères arménien à Paris pour lui soumettre le projet, incluant l’immersion dans le Haut-Karabakh.
«C’est évidemment un voyage symbolique pour Valérie Pécresse: la période juste avant Noël, la référence aux chrétiens d’Orient.» constate Bruno Retailleau. La candidate a fait le déplacement avec Michel Barnier, son conseiller international et Bruno Retailleau, cheville ouvrière d’un voyage aussi dense que millimétré.
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