Ebola : un premier cas confirmé au Sénégal <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Ebola : un premier cas confirmé au Sénégal
©

Encore un

Le malade est un étudiant guinéen qui a échappé à la surveillance des autorités sanitaires dans son pays et a réussi à pénétrer au Sénégal avant que celui-ci ne ferme ses frontières avec la Guinée.

Un premier cas de fièvre Ebola a été signalé au Sénégal, a annoncé ce vendredi 29 août la ministre sénégalaise de la Santé, Awa Marie Coll Seck. Le malade est un étudiant guinéen qui a échappé à la surveillance des autorités sanitaires dans son pays. Ces dernières le suivaient en raison de ses contacts avec des malades d'Ebola. Le jeune homme a réussi à entrer dans le pays avant que celui-ci ne ferme ses frontières avec la Guinée, le 21 août dernier.

Les services de santé guinéens ont donc signalé mercredi 27 août "la disparition d'une personne infectée par le virus Ebola qui se serait rendue au Sénégal".  "La personne a été localisée à l'hôpital de Fann (à Dakar). Il s'agit d'un jeune Guinéen qui a été aussitôt mis en quarantaine", a ajouté la ministre. Il est pour l'instant "dans un état satisfaisant". Par d'inquiétudes, "le dispositif a été renforcé pour éviter la dissémination de la maladie à partir de ce cas importé", a-t-elle assuré. "Nous sommes en train de reprendre tout l'itinéraire et de revoir toutes les personnes qui ont été en contact" avec le patient, a-t-elle ajouté, sans toutefois donner de détails sur le ou les lieux de résidence du malade et sa date d'entrée au Sénégal.

Le pays a fermé ses frontières terrestres, aériennes et maritimes avec la Guinée le 21 août en raison de l'épidémie. Il a fait de même avec la Sierra Leone et le Liberia. 

Lu sur L'Express

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !