Départementales 2015 : pour Jean-Christophe Cambadélis, le FN ne gagnera "ni le Vaucluse, ni l'Aisne"<!-- --> | Atlantico.fr
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Cambadélis a attaqué Sarkozy
Cambadélis a attaqué Sarkozy
©Reuters

Optimiste

Sur LCI et Radio Classique ce mercredi, le premier secrétaire du PS a dit croire à l’existence d’un "plafond de verre" qui arrêtera la progression du Front national.

Malgré la claque reçue dimanche lors du premier tour des élections départementales, Jean-Christophe Cambadélis reste positif. Invité de Radio Classique ce mercredi, le premier secrétaire du PS a estimé que la gauche rassemblée pouvait bien faire au second tour. "Dans le Nord (NDLR : département d’ores et déjà perdu), il y a eu la division. S’il n’y avait pas eu la division, on serait en tête dans tous les cantons. (...) Avant le second tour, tout le monde, même Cécile Duflot, est sur la même longueur d’onde, à savoir qu’il faut monter des digues contre la droite pour défendre la solidarité et contre l’extrême droite pour défendre la République" a-t-il expliqué.

Puis le premier secrétaire du PS a dit vouloir bloquer la progression du Front national. "Vous verrez au soir du deuxième tour que le nombre de conseillers départementaux du Front national sera en dessous de cent. Et vous verrez qu’ils ne gagneront ni le Vaucluse, ni l’Aisne. Et donc, à partir de là, on verra qu’il y a quand même un plafond de verre dans ce pays de gens qui n’acceptent pas la xénophobie rampante du Front national, son souverainisme xénophobe et populiste" a indiqué Jean-Christophe Cambadélis.

Puis il en a profité pour critiquer Nicolas Sarkozy jugeant qu'il était "à la rue", "le matin, il est sur le ni-ni, le midi, il dit qu’il faut frapper brutalement, le soir, il essaie de faire une synthèse". Et selon lui, les difficultés du gouvernement aujourd'hui sont dues à la politique menée par l'ancien chef de l'Etat. "Croissance, consommation, logement, déficit, relance européenne... Tout cela va dans le bon sens. Ce n’est pas suffisant mais c’est un début. Cela fait deux ans qu’on rame, deux ans qu’on éponge les déficits de Nicolas Sarkozy" a expliqué "Camba". Une rengaine souvent ressortie en période électorale.

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