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Départementales 2015 : Manuel Valls sent un "frémissement, quelque chose qui change"
©Reuters

Positif

En déplacement en Corrèze, sur les "terres présidentielles" jeudi soir, le Premier ministre a dit croire au succès du parti socialiste.

Manuel Valls se veut rassurant à quelques heures du premier tour des élections départementales. Le fameux discours du "j'ai peur" a été définitivement rangé au placard. Le Premier ministre, en déplacement en Corrèze jeudi soir, s'est voulu beaucoup plus optimiste et a dit attendre ce scrutin "avec confiance". 

"Je sens un frémissement, je sens quelque chose qui change, je crois que les électeurs de gauche sont conscients de l'enjeu pour l'avenir des départements, de l'enjeu par rapport à l'extrême droite parce que c'est l'image de la France qui est en cause, au moment où nous avons vu cette attaque terroriste terrible en Tunisie, se rappeler que les valeurs de fraternité, de liberté, de respect de l'autre sont plus que jamais indispensables" a indiqué le chef du gouvernement.

Puis Manuel Valls a expliqué que pour lui "c'est souvent les candidats de gauche qui portent ces valeurs". Un élément primordial selon le Premier ministre qui s'est dit persuadé que les "gens observent cela". Au passage, il s'est dit "fier de venir faire campagne" dans ce département, terre de François Hollande, que ce dernier a d'ailleurs dirigé de 2008 à 2012. Interrogé sur le fait de "nationaliser" la campagne, il a répondu : "Oui je l'assume". "Je pense que, grâce à mon engagement contre l'extrême droite et pour que les Français aillent voter, chacun a bien compris qu'il allait y avoir des élections départementales" a encore soutenu Manuel Valls, pas découragé par les sondages. Pourtant d'après les dernières enquêtes, le PS arriverait en troisième position loin derrière le FN et l'UMP.

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