Crash Air Asia : le givre pourrait être à l'origine de l'accident<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Crash Air Asia : le givre pourrait être à l'origine de l'accident
©Reuters

L’enquête se poursuit

Pour l'Agence météorologie nationale, la météo est le "facteur déclenchant" du drame.

Qu'est-il arrivé au vol QZ8501de la compagnie Air Asia qui s'est abimé en mer dimanche dernier? Alors que l'accident est arrivé voilà une semaine, les recherches sont toujours en cours, mais rien n'est encore acquis. Pour l'Agence météorologie nationale, la météo est le "facteur déclenchant" de l'accident, soulignant que le givre pourrait avoir endommagé les moteurs.

Mais le facteur météo n'est encore qu'une hypothèse, et il reste difficile d'y voir clair dans ce drame, sans avoir retrouvé les boîtes noires de l'appareil. "Ce n'est pas pertinent d'avancer une hypothèse sur la cause de l'accident alors que nous n'avons pas encore retrouvé les boîtes noires" tempère d'ailleurs un ancien commandant de l'armée de l'air.

D'autant que l'hypothèse du givre parait d'ailleurs peu crédible à certains, qui pointent du doigt le fait que les six autres avions dans le secteur au même moment n'ont pas été gênés par ce phénomène.

En mer, cinq grandes parties de la carcasse de l'appareil ont été retrouvées au large de l'île de Bornéo. Cependant, les conditions météo, ont été dantesques au cours de la semaine écoulée, ont freiné les recherches. Une trentaine de navires et 21 avions mobilisés par les pays riverains ainsi que les États-Unis, l'Australie ou la Russie participent aux recherches, bien que les chances de retrouver des survivants soient jugées infimes

34 cadavres ont été retrouvés jusqu'ici, sur les 162 personnes présentes à bord de l'appareil (dont le copilote de nationalité française), qui effectuait la liaison entre la ville indonésienne de Surabaya et Singapour.

Lu sur Le Monde.fr

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !