Le boxeur Christophe Dettinger s'exprime enfin sur son geste face aux gendarmes dans une vidéo dévoilée sur Facebook<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Social
Le boxeur Christophe Dettinger s'exprime enfin sur son geste face aux gendarmes dans une vidéo dévoilée sur Facebook
©Capture d'écran Facebook / Gaelle Galou

Regrets

Christophe Dettinger s'est rendu à la police ce lundi. Il a été filmé en train de frapper un gendarme ce samedi lors de la manifestation des Gilets jaunes.

L'ancien champion de boxe Christophe Dettinger, responsable de l'agression des gendarmes samedi dernier à Paris dans la vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux, s'est rendu ce lundi. Christophe Dettinger s'explique dans une vidéo publiée sur le compte Facebook d'une femme qui se présente comme étant sa belle-sœur. 

Christophe Dettinger revient notamment sur l'incident de samedi. Très ému, il a indiqué avoir participé à tous les rassemblements Gilets jaunes organisés à Paris. 

 "Je suis un Gilet jaune. Je me sens concerné parce que je suis Français, je suis fier d'être Français. Je ne suis pas d'extrême gauche, je ne suis pas d'extrême droite, je suis un citoyen lambda".  

Christophe Dettinger explique sa violence par la colère : 

"À force de se faire taper (...) oui, j'ai voulu avancer sur les CRS, je me suis fait gazer. À un moment la colère est montée en moi, j'ai mal réagi. Oui, j'ai mal réagi, mais je me suis défendu. J'ai vu la répression. J'ai vu la police nous gazer, faire mal à des gens."

Ce message aurait été enregistré dimanche. Il a également invité le "peuple français" et les Gilets jaunes à "continuer" le mouvement.  

Christophe Dettinger risque une lourde peine suite à ses gestes violents envers les gendarmes à Paris ce samedi. 

Facebook

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !