Canular Bedos-Trierweiler : Hollande "assez virulent" au téléphone, le CSA mécontent <!-- --> | Atlantico.fr
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Dans l'émission d'Alessandra Sublet, Nicolas Bedos a réussi à faire croire à une prétendue relation avec Valérie Trierweiler
Dans l'émission d'Alessandra Sublet, Nicolas Bedos a réussi à faire croire à une prétendue relation avec Valérie Trierweiler
©Capture d'écran

Tempête médiatique

L’humoriste avait fait croire, ce mercredi soir dans l’émission d’Alessandra Sublet "Un soir à la Tour Eiffel", qu’il avait eu une liaison avec Valérie Trierweiler. Le président l’aurait appelé ce jeudi matin de manière "assez virulente". L'Élysée dement.

Il voulait dénoncer la peopolisation de la vie politique, il s'est attiré les foudres. En faisant croire, ce mercredi soir dans l’émission "Un soir à la Tour Eiffel", qu’il avait entretenu une relation avec Valérie Trierweiler, Nicolas Bedos a suscité une rafale de commentaires. L’affaire a été tellement loin que le président François Hollande, lui-même, aurait passé un coup de fil à l’humoriste, ce jeudi matin. Expliquant que la réaction de ce dernier a été dans un premier temps "assez virulente", le fils de Guy Bedos affirme que la discussion s’est détendue allant jusqu’à être "très sympathique et drôle". "C'était une satire et ils en font une affaire d’état", s’est-il justifié. L’Élysée a démenti le coup de fil présidentiel. 

Par ailleurs, le CSA a annoncé qu’il se saissait de l’affaire et qu’il rendra son avis "très prochainement." Du côté de la chaîne, on soutient l’invité d’Alessandra Sublet. "France 2 assume bien sûr le canu­lar de Nico­las Bedos dans son émission de diver­tis­se­ment hier soir. Préci­sé­ment parce que c'est Bedos, humo­riste, et que si on lui donne la parole, c'est alors pour respec­ter sa liberté de ton et de sujets. À condi­tion de préve­nir ensuite les télé­spec­ta­teurs du canu­lar, ce qui fut fait. Sur le fond, Nico­las Bedos dénonce le débal­lage de la vie privée et l'embal­le­ment média­tique qui en résulte, notam­ment sur les réseaux sociaux", a déclaré la chaîne dans un communiqué. 

Dans une interview accordée à Closer, Nicolas Bedos a tenu à réagir. "Je n'étais pas très à l'aise pendant la séquence. Je sentais les regards dans le public. Des gens qui sont venus parce qu'ils m'aiment bien être catas­tro­phés… Je n'ai pas fait ça pour le buzz, pour faire parler de moi, mais pour me moquer du buzz grave­leux autour de cette épiso­de… Je pensais ne rien dire le soir même de la diffu­sion et attendre le lende­main pour réta­blir la vérité. La produc­tion de l'émis­sion a refusé", a-t-il expliqué. 

Lu sur Le Point

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