Calais : l'évacuation de la jungle arrive "terriblement tard", juge Jean-François Copé<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Calais : l'évacuation de la jungle arrive "terriblement tard", juge Jean-François Copé
©Reuters

Critique

Le député-maire de Meaux était sur Europe 1 pour présenter les grandes lignes de son programme.

Calais : "Nous avons un devoir absolu de trouver une solution pour chacun des migrants évacués" souligne Jean-François Copé. Cette évacuation, "qui arrive terriblement tard" n'est pas "un point d'aboutissement mais un point de départ." Et de rappeler que la situation est "terrible. Qui ne peut pas être touché par le sort de ces migrants ?"

Le quinquennat Sarkozy : "J'ai cru dans la rupture de 2007, elle n'a pas eu lieu" affirme-t-il. "Je n'ai cessé d'alerter le pouvoir entre 2007 et 2012 : attention, vous ne faites pas ce pourquoi vous avez été élu."

Son axe de campagne : "Je défends un virage sécuritaire, une ligne assez différente des autres candidats à la primaire (…) Il y a une défaillance de l'Etat sur les questions de sécurité : les Français ont peur les uns des autres."

Le poids des centristes : Jean-François Copé a critiqué l'appel des sarkozystes contre François Bayrou, dans le JDD. "Sarkozy a fait venir des ministre socialistes au gouvernement : comment dire qu'il ne veut pas des centristes de Bayrou ?" tranche le maire de Meaux. "Tout ça est très politicien."

La loi sur la burqa : "c'est bien nous qui l'avons imposée au gouvernement" explique-t-il en référence à la passe d'arme qui l'a opposé avec Nicolas Sarkozy. "Ce n'est pas moi qui exprimait cette animosité inutilement agressive" précise-t-il. Jean-François Copé a, par ailleurs, proposé l'interdiction du "port de signes religieux ostentatoires dans toutes les administrations publiques."

A LIRE AUSSI : Évacuation de la Jungle de Calais : retour sur la première journée

Lu sur Europe 1

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !