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Avoir un chef homme ou femme? Aucune importance pour 84% des Français
©Pixabay

Egalité

Alors que le deuxième prix de la Femme d'influence se tiendra le 1er décembre, une étude dévoile certaines tendances quant à l’évolution des territoires d'influence des femmes.

Aujourd'hui, seulement 30% des entreprises sont créées par des femmes. Pour faire évoluer cette situation, le club Génération Femmes d’Influence a été créée par Patricia Chapelotte, afin de valoriser entrepreneuriat féminin.

A l’occasion de la 2ème édition du Prix de la Femme d’Influence qui se déroulera le 1er décembre (découvrez la liste des nommées ici), l'association publie avec l’Ifop une enquête sur l’évolution des territoires d'influence des femmes. Cette enquête a pour but d’évaluer dans quels secteurs se situe l’influence des femmes et de quelle manière les hommes appréhendent l’influence féminine, notamment dans la vie politique et économique. Différentes tendances se dégagent de l'enquête. Premièrement, 45% des Français considèrent qu’au cours des cinq dernières années, l’accès des femmes aux fonctions politiques s’est amélioré. Les hommes se montrent en ce sens plus optimistes que les femmes, la proportion des hommes jugeant que la situation s’est améliorée dans chacun des domaines évoqués étant supérieur de 9 à 17 points par rapport aux jugements des femmes.

Ensuite, 84% des Français se déclarent indifférent au fait d’être encadrés par un homme ou par une femme. Par ailleurs (une nouvelle qui suscitera peut-être des vocations), 92% des Français se déclarent favorables à l’idée qu’une femme devienne président de la République. Si l’influence des femmes est reconnue par une large majorité de Français dans les sphères culturelle (87%) et médiatique (84%), ils ne sont que 49% à pouvoir citer une personnalité de la sphère économique. Aucun nom ne se détache hormis celui de Christine Lagarde, actuel présidente du FMI. Enfin, 90% des personnes sondées considèrent que l’apparence constitue une composante importante de son image publique.

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