Attentat de Moscou : l’État islamique confirme l'arrestation de quatre djihadistes<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Alors que le Kremlin évoque toujours une piste ukrainienne, l’EI reconnaît l'arrestation en Russie de quatre de ses membres qui ont attaqué la Crocus City Hall de Moscou, faisant au moins 143 morts et 360 blessés
Alors que le Kremlin évoque toujours une piste ukrainienne, l’EI reconnaît l'arrestation en Russie de quatre de ses membres qui ont attaqué la Crocus City Hall de Moscou, faisant au moins 143 morts et 360 blessés
©Olga MALTSEVA / AFP

Crocus City Hall

Alors que le Kremlin évoque toujours une piste ukrainienne, l’organisation djihadiste reconnaît l'arrestation en Russie de quatre de ses membres qui ont attaqué la Crocus City Hall de Moscou.

Le groupe État islamique a confirmé ce vendredi l'arrestation en Russie de quatre de ses membres impliqués dans l’attaque du Crocus City Hall de Moscou vendredi 22 mars.

Dans son édition du jeudi publiée vendredi à l'aube, al-Nabaa, hebdomadaire de l'organisation djihadiste, confirme que « quatre combattants, qui sont des soldats du califat », ont attaqué la salle dans la banlieue de Moscou. Trois d'entre eux ont utilisé des mitrailleuses tandis que le quatrième était chargé de provoquer un incendie, selon al-Nabaa, publié sur les chaînes de l'application Telegram du groupe djihadiste.

Les assaillants ont ensuite été la cible d'une « course-poursuite » menée par des forces terrestres et aériennes, et qui s'est terminée par leur « encerclement » dans une forêt. « Que Dieu les libère de leur captivité », dit al-Nabaa.

Le Kremlin insiste toujours sur une piste ukrainienne. Kiev dément pour sa part toute implication dans cette tuerie qui a fait au moins 143 morts et 360 blessés, dont des enfants.

Le Figaro

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !