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Affaire des pénalités de Sarkozy payées par l’UMP : non-lieu général prononcé
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Dossier clos

Le parquet de Paris a été entendu puisqu'il avait requis, le 8 juillet dernier, un non-lieu dans cette enquête.

Le dossier est clos : un non-lieu général a été prononcé mardi 8 septembre dans l’affaire des pénalités imposées à Nicolas Sarkozy, mais payées par l’UMP, pour le dépassement de son plafond de dépenses de campagne en 2012. Le parquet de Paris a été entendu puisqu'il avait requis, le 8 juillet dernier, un non-lieu dans cette enquête. 

Ces pénalités, encourues après le rejet par le Conseil constitutionnel des comptes du candidat en raison du dépassement du plafond des dépenses autorisées, auraient dû être réglées par Nicolas Sarkozy lui-même. L'UMP s’était chargé de régler la facture par le biais de la collecte Sarkothon pour récupérer les dix millions d’euros non remboursés ainsi que les sommes dues par Nicolas Sarkozy.

A lire aussi : Les secrets de la stratégie Sarkozy 2012

Une information judiciaire a été ouverte en octobre 2014. Mais soucieux de régulariser la situation, Nicolas Sarkozy avait annoncé le 1er décembre avoir finalement réglé les 363 615 euros dus. L’ancien président avait été placé le 1er avril sous le statut intermédiaire de témoin assisté. Deux personnes seulement ont été inquiétées par la justice au final. L’ancien président de l’UMP, Jean-François Copé, avait été mis en examen pour abus de confiance, tout comme l’ex-trésorière du parti, Catherine Vautrin. 

Lu sur Le Monde

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