Ecoutes Sarkozy : la Cour de cassation valide l'arrêt de la chambre de l'instruction de Paris <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
L'actuel président des Républicains avait été mis en examen en 2014 pour "recel de violation du secret professionnel, corruption active et trafic d'influence actif".
L'actuel président des Républicains avait été mis en examen en 2014 pour "recel de violation du secret professionnel, corruption active et trafic d'influence actif".
©Reuters

Rebondissement

Nicolas Sarkozy – alias Paul Bismuth – est soupçonné d'avoir tenté d'influencer une décision de justice le concernant avec le concours de son avocat Thierry Herzog, lui aussi mis en examen.

Mauvaise nouvelle pour l'ancien président de la République. La Cour de cassation a validé les écoutes de Nicolas Sarkozy dans le cadre de l'affaire Bettencourt, ce mardi. L'actuel président des Républicains – qui avait contesté la légalité de ces écoutes – avait été mis en examen en 2014 pour "recel de violation du secret professionnel, corruption active et trafic d'influence actif".

Nicolas Sarkozy – alias Paul Bismuth – est soupçonné d'avoir tenté d'influencer une décision de justice le concernant avec le concours de son avocat Thierry Herzog, lui aussi mis en examen. Les deux hommes auraient promis à un haut magistrat de la Cour de cassation – Gilbert Azibert – un poste de prestige à Monaco en échange de ses services. Nicolas Sarkozy se défend en expliquant que ce service n'avait jamais été rendu. D'après les enquêteurs, ce revirement viendrait du fait que le président des Républicains et Thierry Herzog avait pris connaissance de ces écoutes. 

Lu sur France TV Info

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !