Accusations d'agression sexuelle contre Woody Allen : "fausses et honteuses" répond le réalisateur<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Culture
Accusations d'agression sexuelle contre Woody Allen : "fausses et honteuses" répond le réalisateur
©

Réplique

Sa fille adoptive a brisé le silence et a raconté qu'elle avait été violée lorsqu'elle avait 7 ans.

La réponse de Woody Allen n'a pas tardé. "M. Allen a lu l'article et le considère comme faux et honteux. (...) Une enquête minutieuse avait été menée par des experts indépendants mandatés par la cour et ils avaient conclu qu'il n'y avait pas de preuve crédible de l'agression", a déclaré la porte-parole du réalisateur dans un communiqué envoyé à l'AFP

Samedi, Dylan Farrow, 28 ans a raconté dans une lettre ouverte publiée sur un blog du New York Times, qu'elle avait été victime d'un viol lorsqu'elle avait 7 ans. "Quand j'avais sept ans, Woody Allen m'a prise par la main, et m'a conduite dans un petit grenier mal éclairé au deuxième étage de notre maison. Il m'a dit de m'allonger sur le ventre et de jouer avec le train électrique de mon frère. Et il m'a agressée sexuellement. Il me parlait en le faisant, me murmurant que j'étais une gentille petite fille, que c'était notre secret, me promettant que nous irions à Paris et que je serais une star de cinéma" a-t-elle écrit.

En 1992, l'actrice avait déjà évoqué cette histoire. Les experts mandatés à l'époque avaient également conclu "que Dylan Farrow était incapable de faire la distinction entre son imagination et la réalité ; et que Dylan Farrow avait probablement été manipulée par sa mère Mia Farrow. Aucune poursuite n'avait été engagée". Un procureur avait estimé qu'il y avait des "raisons suffisantes" pour poursuivre Woody Allen.

Lu sur Le Figaro

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !