Scandale Volkswagen : 2 millions de véhicules Audi concernés<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Economie
Scandale Volkswagen : 2 millions de véhicules Audi concernés
©Reuters

Et ça continue

Le procureur de Brunswick a annoncé l’ouverture d’une information judiciaire pour fraude à l’encontre de Martin Winterkorn, ex-patron du groupe.

Les révélations s'enchaînent concernant le scandale Volkswagen et les débuts de Matthias Müller, le nouveau PDG, s'avèrent compliqués. Le conseil de surveillance du groupe avait annoncé la suspension d’un certain nombre de salariés soupçonnés d’être directement impliqués dans la création de logiciels de trucage des émissions polluantes de ses moteurs diesel, mais n'avait pas révéler leurs identités. Mais, selon des sources proches du constructeur automobile allemand, des responsables des branches recherche et développement d’Audi et de Porsche ont été suspendus ce lundi 28 septembre.

Le procureur de Brunswick a annoncé l’ouverture d’une information judiciaire pour fraude à l’encontre de Martin Winterkorn, ex-patron du groupe.

A lire aussi : Pourquoi le scandale Volkswagen n'est que la pointe de l'iceberg de la culture du mensonge et de la manipulation qui pèse depuis 40 ans sur les questions d'environnement et de climat

La semaine dernière, Volkswagen, qui s’est hissé au premier semestre au premier rang mondial du secteur devant le japonais Toyota, a reconnu que 11 millions de véhicules diesel de sa fabrication étaient équipés du logiciel. Sur ces 11 millions, 2,1 millions sont des voitures de marque Audi : 1,42 million de véhicules étaient équipés par le logiciel incriminé en Europe occidentale, dont 577 000 en Allemagne, et 13 000 aux Etats-Unis. Les modèles affectés sont le A1, l’A3, l’A4, l’A5, l’A6, le TT, le Q3 et le Q5.

Lu sur AutoInfos

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !