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"À la fin, on va peut-être aussi supprimer les congés payés," ironise Henri Guaino
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Les réactions de la matinée

Le député gaulliste est très hostile au programme de François Fillon et le fait savoir.

Henri Guaino : Le programme de François Fillon est "une politique d'austérité comme on n'en a pas vu depuis 1944, un démantèlement de la protection sociale" assure-t-il sur BFMTV. "Va-t-on laisser gouverner les relations sociales par le chantage, dans un moment où le chômage de masse est aussi important ? À la fin, on va peut-être aussi supprimer les congés payés, pourquoi pas ?"

Le député est aussi revenu sur sa volonté de se présenter à la présidentielle et donc d'obtenir les fameux 500 parrainages. "Je commence à avoir des promesses et maintenant que les primaires sont terminées, je vais aller chercher le maximum de promesses. J'ai bon espoir, les maires seront conscients de leur devoir civique et pour une fois, feront plus de parrainages que d'habitude et permettront que cette élection ne soit pas confisquée".

Nicolas Hulot : Invité" sur RTL, l'écologiste a regretté les postions de François Fillon sur le nucléaire. "Ça me désolé parce que cet homme est intelligent. C’est dommage que quelqu’un qui est proche des milieux catholiques n’ait pas été plus inspiré par l’encyclique du pape qui est au moins un avertissement qui transcende tous les clivages politiques et qui pose ce sujet en haut de la pyramide de nos priorités.". En juin 2015, dans son encyclique sur l'environnement, "Laudato Si", le pape avait appelé à une révolution énergétique.

Patrick Buisson : Sur France Inter, l'ancien conseiller de Nicolas Sarkozy assure que son livre n'a pas joué sur la primaire. "Un livre ne tue jamais en politique. Il cristallise ce qui est dans l'air du temps. Dans mon livre, je vais même vous dire : j'édulcore la réalité, je ne rapporte pas certains propos, par respect pour la fonction. Vous pouvez les imaginez, connaissant le tempérament volcanique du président..."

Malek Boutih : "Manuel Valls est une synthèse miraculeuse pour la gauche, il tient les deux bouts de la chaîne : la question sociale et la question sécuritaire" affirme ce proche du Premier ministre. "Le problème numéro un de la gauche, c'est qu'elle est partie pour être quatrième en 2017, et pour se dissoudre lors de cette élection".

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