Blackface
Saviez-vous que Victor Hugo était noir ?
Nous devons cette découverte à la Mairie (EELV) de Besançon …
Benoît Rayski
Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.
Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.
Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.
La statue de l’auteur des Misérables trônait depuis plus d’une vingtaine d’années sur une place de Besançon. La pluie, la neige et l’usure du temps l’ont abîmée.
Il fallait donc la rénover. La statue a été enlevée de son socle et placée dans un atelier. Là, des artisans se sont occupés d’elle. Obéissants aux consignes de la Mairie, ils l’ont repeinte en noir.
Un sacré coup de soleil sur le visage de Victor Hugo ! On remarquera que sa barbe a échappé à cette rénovation progressiste. En effet, elle est restée blanche. Car il est bien connu que les noirs ont une barbe blanche.
Tel qu’il est devenu, Victor Hugo fait honneur à l’Afrique. Il s’agit incontestablement d’un continent très célèbre pour ses écrivains et ses poètes.
On murmure que la ville de Besançon prépare une réédition des Misérables conforme à la nouvelle couleur de l’écrivain. Fantine s’appellera Fatoumata. Et Cosette sera baptisé Aminatta. Ce qu’il faut !
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