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Olivier de Mendez - Starbucks France : "Aujourd’hui, on n’arrive pas à faire de bénéfices"
©Les Echos

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Olivier de Mendez était l’invité des Echos. Le président France de Starbucks était interrogé sur le développement de la firme américaine dans l’hexagone. "Après 10 ans de présence en France, nous possédons 102 salons répartis sur Paris, Lyon, Marseille, Nice et Monaco. Dans l’idéal, nous souhaiterions monter à 200, 250 d’ici 5 ans en ouvrant d’autres villes. Pour cela, nous allons, comme en Angleterre, lancer les franchises. Nous avons déjà 5 villes dans notre radar dont Strasbourg, Toulouse et Bordeaux, nous espérons mener à bien ce projet dans les 12 mois."
Pour le patron français, il fut aussi question d’imposition, alors qu’il est reproché à l’enseigne de pratiquer des "prix de transfert" afin de payer moins d’impôts. Olivier de Mendez se défend : "Ce que l’on nous reproche, c’est de ne pas payer d’impôts sur les bénéfices (…) c'est parce que nous ne faisons pas de bénéfices et ce, pour plusieurs raisons : nous devons être dans des rues passantes, donc les loyers sont élevés. Et puis, la politique de Starbucks c’est de ne proposer que des CDI, notre charge salariale est donc élevée." Et de conclure : "Nous payons tout ce qui est TVA, charge sociale etc mais aujourd’hui, on n’arrive pas à faire de bénéfices. On s’est fixé les deux ou trois prochaines années pour en faire."

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Qui à dit ?

                                                      "Une voiture électrique c’est une rupture sociétale, ce n’est pas qu’une voiture différente"


Réponse : Béatrice Foucher, directrice du véhicule électrique de Renault, sur France Info. "Quand on achète un véhicule électrique, on change nos habitudes de recharge, de roulage. On doit donc lever un certain nombre d’anxiété. L’an dernier nous avons vendu 9000 Renault Zoé, on vise cette année 12.000 à 13.000 ventes"


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