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Francis Morel - Les Echos : "Il faut aider Charlie Hebdo à vivre au-delà du numéro de demain"
©France Info

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Francis Morel était l’invité de France Info. Le président du Syndicat de la presse quotidienne nationale (SPQN), qui dirige également le groupe Les Echos, était interrogé sur le retour en kiosque mercredi de Charlie Hebdo. "Il est important que Charlie Hebdo puisse reparaitre. Il y a une envie forte de la part de la rédaction de refaire un journal. La dernière conférence de rédaction s’est bien passée et tout le monde a eu envie de refaire un numéro" explique Francis Morel.

Pour le président de l’organisation professionnelle, "il faut surtout les aider à faire vivre le titre au-delà du numéro de demain : développer le portefeuille d’abonnement, une retombée régulière qui assure la pérennité du titre, une aide logistique comme l’on fait Libération et Le Monde. (…) Les gens parlent de Charlie Hebdo, beaucoup vont s’abonner et prendre l’habitude de le lire toutes les semaines. C’est évident que pour l’instant chacun soutient un symbole mais l’on va découvrir que derrière le symbole il y a un journal."

Dans un marché ou les ventes en kiosque continuent de baisser, le président du groupe Les Echos n’est pas fataliste. "Il ne faut pas s’arrêter aux ventes en kiosque, les ventes papiers se font aussi sur l’abonnement, le portage et puis il y a le numérique, c’est 22% de nos ventes totales. Ce qui compte, c’est d’être en contact physiquement numériquement avec le titre. Il y a un vrai réservoir de développement de lecteur que l’on peut trouver avec le numérique."

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Qui à dit ?

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Réponse : Paul-François Fournier sur BFM Business. Le responsable du pole innovation de BPI France était interrogé sur l’investissement la banque publique dans Teads, une startup française dont le fondateur, Pierre Chapaz, est devenu résident Suisse. "C’est avant tout un dirigeant d’entreprise. Il a ensuite fait des choix que l’on n’a pas à commenter. Ce qui nous intéresse c’est l’ancrage français de Teads, son potentiel. Tout le développement, toute la R&D se fait à Montpellier. Teads va encore recruter 200 personnes. A un moment, il faut être pragmatique et savoir si l’on veut ou non développer notre écosystème."

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