Il cherche la petite bête ou quoi ?
Aymeric Caron souffre pour les Palestiniens
Ce ne sont pourtant pas des insectes.
Benoît Rayski
Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.
Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.
Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.
Le groupe parlementaire communiste a déposé à l’Assemblée une proposition de loi condamnant le supposé apartheid qui règnerait en Israël. Fort heureusement, elle a été rejetée.
On ne connaît pas tous les noms de ceux qui l’ont votée. On s’en passera. Mais un nom, un seul émerge et s’affiche : celui d’Aymeric Caron !
Le député NUPES se répand sur les réseaux sociaux pour clamer sa solidarité avec les Palestiniens. « Peuple humilié et colonisé », par les méchants Israéliens.
Rappelons, à toutes fins utiles, qu’il y a 20 % de Palestiniens en Israël Ils ont les mêmes droits que les Juifs, ont des députés à la Knesset, y compris islamistes !
Voilà qui a échappé à Aymeric Caron. C’est un crétin, doublé d’un m’as-tu-vu. Comme chacun sait, il brûle d’amour pour les cancrelats, les moustiques, les puces et autres rats. Les Palestiniens sont décidément en mauvaise compagnie.
En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.
Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !