Une Allemande victime d’une "combustion spontanée" : réalité ou arnaque ? <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Science
La majorité des victimes de ce phénomène sont des personnes âgées, malades ou alcoolisées.
La majorité des victimes de ce phénomène sont des personnes âgées, malades ou alcoolisées.
©Reuters

Chaud devant !

La combustion spontanée est un terme employé pour désigner des cas très rares où une personne prendrait feu d’elle-même. Les scientifiques perplexes estiment que l’électricité statique pourrait être à l’origine du départ de flamme.

Scène surréaliste dans le nord de l’Allemagne ? Une quadragénaire originaire de l’île Maurice aurait été victime d’une "combustion spontanée". Un passant est intervenu pour tenter d’éteindre les flammes avec sa veste, mais la femme a été emmenée à l’hôpital avec de sérieuses brulures. Un spécialiste des grands brûlés de Lubeck est chargé  de s’occuper d’elle. Les témoins affirment que la victime n’a pas émis le moindre son quand les flammes sont apparues sur son corps.

La combustion spontanée est un terme employé pour désigner des cas très rares où une personne prendrait feu d’elle-même sans une cause extérieure apparente. La police aurait répertorié 200 cas de combustion spontanée où les victimes sont très gravement brûlées, parfois totalement consumées par les flammes. La majorité des victimes de ce phénomène sont des personnes âgées, malades ou alcoolisées, ce qui les rendrait d’autant plus vulnérables. Les scientifiques, dubitatifs sur la réalité de ce phénomène, évoquent comme hypothèse que le corps humain peut se comporter comme une "bougie interne" : les vêtements font office de mèche et le corps de cire. L’électricité statique ou encore un simple cigarette pourrait être à l’origine du départ de flamme.

Lu sur le DailyMail

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !