"Il n'y a aucune cérémonie qui permet de reconnaître le divorce au sein de l'Eglise de Scientologie", selon la Révérente Ann Pearce, porte-parole du mouvement. Si pour une raison quelconque la méthode citée plus haut échoue, l'Eglise assigne des avocats scientologues aux futurs divorcés. 

Très paradoxalement, il arrive à l'Eglise d'ordonner le divorce à ses membres.

Claire Headley, ex-scientologue, a raconté au Times que l'Eglise lui a ordonné de divorcer de son mari, après 12 ans de mariage. Si elle ne s'exécutait pas, elle était menacée d'exclusion du "Religious Technology Center" en Californie.

Pareil pour Steve Hall, qui a du mettre fin à 16 ans de mariage quand il a décidé de quitter l'Eglise en 2004. "Avec des larmes qui coulaient le long de nos deux visages, nous nous sommes pris dans les bras, puis ils me l'ont enlevée" a-t-il dit au journal américain.

Bien sûr, le mouvement dément le témoignage de l'ancien membre.