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Maïtena Biraben donne sa version des faits après son absence du "Grand Journal" et se dit "sidérée"
©Capture écran/canal +

Explications

"C’est incroyable ce qu’on peut écrire comme âneries" a déclaré l'animatrice de Canal+, dans un entretien accordé à RTL.

Son absence a été abondement commentée.  Ce mercredi soir, Maïtena Biraben fera son retour dans "Le Grand Journal", après trois émissions pilotées par Victor Robert. Avant de reprendre les commandes, l'animatrice a surtout voulu donner sa version des faits lors d'un entretien avec RTL.La journaliste s’est étonnée que son absence ait pu autant faire parler, même si elle concède que "c’est le jeu".

"Je serai de retour ce soir comme c’était prévu depuis le début", a-t-elle affirmé. "J’ai eu un pépin de santé absolument pas grave mais qui fait que j’ai dû m’arrêter vendredi, samedi, dimanche, lundi, mardi y compris. Je suis contente que vous me donniez la parole parce que je suis un peu sidérée. On a pu lire que j’avais été mise à pied par ma chaîne, donc, je le démens, la chaîne aussi. On a pu lire que, contrariée, je ne vais pas à mon travail… Je sais bien qu’on fait un métier bizarre à la télé mais, quand même, on est soumis au même code du travail que tout le monde. On ne peut ne pas aller faire son travail parce qu’on est contrarié."

Celle qui officiait auparavant le dimanche dans "Le Supplément" de la chaîne cryptée a tenu à répondre à une rumeur particulièrement insistante sur un conflit avec son équipe.

"On peut lire aussi que c’était à la suite d’un conflit", a-t-elle enchaîné. "Il a été dit que je serais comme une espèce de marâtre fâchée contre mon équipe après l’émission du décès de Prince. Les rédactions sont des endroits où on hurle de rire et on s’engueule, oui, mais ce n’est pas le sujet. Ça n’existe pas quelqu’un qui ne retourne pas faire son travail parce qu’il s’est engueulé avec sa rédaction. Dans le code du travail, il n’est pas écrit : “Si vous êtes contrariés, n’allez pas à votre travail!” Ça n’existe pas. C’est incroyable ce qu’on peut écrire comme âneries".

La journaliste de 48 ans a réaffirmé qu’elle serait de retour "avec joie" à la tête du Grand journal dès ce soir et jusqu’à la fin de la saison.

Lu sur RTL

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