Libye : une statue italienne représentant une femme nue caressant une gazelle a mystérieusement disparu<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Si aucune information précise n'est encore disponible sur cette disparition, beaucoup y voient une action des milices islamistes locales.
Si aucune information précise n'est encore disponible sur cette disparition, beaucoup y voient une action des milices islamistes locales.
©

Volatilisée

Sur les réseaux sociaux, la disparition de cette statue a en effet été vivement condamnée par les habitants de Tripoli.

Il ne reste désormais plus aucune trace de cette imposante statue de bronze qui trônait sur une fontaine de Tripoli jusqu'au matin du mardi 4 novembre. Si aucune information précise n'est encore disponible sur cette disparition, beaucoup y voient une action des milices islamistes locales. Celles-ci ont déjà été accusés d'avoir pris pour cible des mosquées et des tombes de style Ottoman.

Dans un communiqué officiel publié mardi 4 novembre, les autorités locales ont déclaré : "Nous en appelons à nos frères libyens pour protéger l'héritage et les antiquités du pays. Nous avons contacté les autorités. Une enquête a été ouverte et nous promettons aux habitants de Tripoli que les criminels seront arrêtés".

Sur les réseaux sociaux, la disparition de cette statue a en effet été vivement condamnée par les habitants de Tripoli, révèle le correspondant local de la BBC. À la fin du mois d'août, la statue avait déjà été touchée par un missile. Un trou était depuis visible dans le ventre de la femme représentée. En février 2012, des officiels libyens avaient déjà évoqué une menace potentielle contre cette statue, de la part de milices islamistes locales. 

Lu sur bbc.com

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !