Espagne : né sans avant-bras, il crée des prothèses robotiques en LEGO<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
High-tech
Espagne : né sans avant-bras, il crée des prothèses robotiques en LEGO
©Capture d'écran / Youtube

Iron Man

Le jeune homme a construit son premier modèle à l'âge de 9 ans. 10 ans plus tard il en est déjà à sa quatrième prothèse.

Les jouets développent l'imagination. David Aguilar, 19 ans et étudiant en bio-ingénierie à l'Université Internationale de Catalogne à Barcelone en est le parfait exemple. Né sans avant-bras à cause d'une maladie génétique rare (le syndrome de Poland), il a trouvé la solution à ses problèmes grâce à ses talents de constructeurs et de petites briques de couleurs.

Depuis 10 ans, le jeune homme construit des prothèses robotiques avec ses jouets préférés : des LEGO. Si à 11 ans Mozart composait son premier opéra, David Aguilar, lui, construit son premier bras artificiel à l'âge de 9 ans, lassé de se voir comme quelqu'un de différent. Il en a conçu trois autres depuis, chaque modèle est évidemment à chaque fois plus évolué que le précédent, permettant une plus grande dextérité.

Fan d'Iron Man, super-héros des comics MARVEL, le jeune homme à baptisé ses bras robotiques MK suivi d'un numéro (MK IV pour le dernier) en hommage aux armures du légendaire Tony Stark.  Il a publié des vidéos sur les réseaux sociaux pour montrer le fonctionnement de ses prothèses. Ses inventions lui ont valu de décrocher une bourse pour intégrer  l'Université Internationale de Catalogne où il étudie actuellement.

David Aguilar ne compte pas s'arrêter là puisque son rêve est de produire des prothèses robotiques abordables pour les personnes dans le besoin, le coût de production étant très faible. Une belle leçon de vie et de solidarité.

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !