Diam's : "j'ai lu qu'il était préférable à la femme de rester pudique et discrète"<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
People
Convertie à l'islam, la chanteuse a donné sa première interview voilée.
Convertie à l'islam, la chanteuse a donné sa première interview voilée.
©

Interview voilée

VIDEO La rappeuse Diam's a donné dimanche soir sa première interview voilée dans l'émission "Sept à huit" sur TF1.

Diam's, qui vient de sortir son autobiographie, s'est confiée. Elle a évoqué sa conversion à l'islam, sa dépression, puis finalement son retrait de la scène du rap. Dans cet entretien pour l'émission "Sept à huit" où elle se livre comme elle ne l'avait jamais fait auparavant, elle s'est présentée pour la première fois voilée depuis qu'elle s'est convertie à l'islam.


Aujourd'hui loin du milieu du rap, elle revient sur sa nouvelle vie, plus normale. "Aujourd'hui, je suis redevenue une femme normale", a-t-elle déclaré en précisant qu'elle préférait désormais qu'on l'appelle par son vrai prénom : Mélanie. La jeune femme parle également de ses périodes difficiles, notamment son passage en hôpital psychiatrique qu'elle avait déjà évoqué dans son album SOS sorti en 2009. "J'ai longtemps pleuré toute seule dans mon grand appartement. J'étais malheureuse parce que j'étais devenue une femme de business, je n'arrêtais pas de me demander pourquoi autant d'argent", s'est-elle rappelée. 


Et puis arrive ce qu'elle décrit comme un des plus beaux jours de sa vie : elle se met à prier avec une amie : "Je me suis prosternée et c'est comme si des montagnes entières étaient tombées de mes épaules."Malgré des parents catholiques, elle choisit donc de se convertir à l'islam  Concernant son choix de porter le voile, elle explique qu'elle a lu qu'il était "préférable à la femme de rester discrète et pudique". 

Lu sur Metro France

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !