"Pretty Woman" devait à l'origine être “une histoire vrai­ment sombre à propos de deux horribles personnes”, raconte Julia Roberts<!-- --> | Atlantico.fr
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Pretty Woman devait à l'origine une histoire très sombre.
Pretty Woman devait à l'origine une histoire très sombre.
©AlloCiné/Pretty Woman

On l'a échappé belle

"À la fin du scénario original, le personnage de Richard devait m'expulser de sa voiture en me jetant des billets à la figure, puis repartir avant le générique de fin", a raconté l'actrice à l'occasion des 25 ans du film.

A l'occasion des 25 ans de la comédie romantique culte Pretty Woman, la chaîne américaine NBC a réuni mardi 24 mars le casting principal du film. Julia Roberts, Richard Gere, Laura San Giacomo, Héctor Elizondo et le réalisateur Garry Marshall étaient donc tous présents quand la première a lâché une bombe : à l'origine l'histoire d'amour/conte de fée entre la gentille prostitué Vivian Ward et le milliardaire Edward Lewis était “une histoire vrai­ment sombre, dépri­mante et terrible à propos de deux horribles personnes”, a déclaré la belle.

A l'origine le film devait s'appelait "3 000" en référence au prix demandé par Vivian pour ses passes et devait mal finir. "À la fin du scénario original, le personnage de Richard devait m'expulser de sa voiture en me jetant des billets à la figure, puis repartir avant le générique de fin", a raconté Julia Roberts, sans pitié pour les fans.

Mais comment est-on donc passé de ce terrible drame à la comédie romantique qu'on connaît tous ? Garry Marshall (Princesse Malgré Elle, Fashion Maman... ) est  arrivé et Disney a acquis les droits du long-métrage pardi! Et ni une ni deux, tout aspect dramatique a été enlevé du script original.

Lors de l'émission, on apprend également que Julia Roberts a été la première choisie pour jouer dans le film et que c'est elle qui a convaincu Richard Gere, réticent de prime à bord, de se lancer dans l'aventure. "On s'est tout de suite apprécié, raconte le comédien. Elle était en face de moi au moment où Garry (Marshall) m'appelle au téléphone pour savoir comment se passait la rencontre. Julia a pris un post-it, a écrit quelque chose et me l'a tendu. C'était marqué: “s'il te plaît, dis oui”. C'était très mignon. Alors j'ai dit “oui”".  Et la magie a pris.

Lu sur Le Figaro

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