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Le risque d’une crise financière et monétaire ne panique pas les chefs d’entreprises ; ce qui les inquiète gravement, c’est la perspective d’une crise économique, car le désordre politique hypothèque la visibilité, paralyse les projets et les investissements.

Dans moins de 24 heures, on saura si la France aura un budget et si le gouvernement Barnier sera encore debout. Alors que personne n’a objectivement intérêt à une nouvelle crise politique qui engendrerait le chaos économique et financier.

Pour les DRH, les jeunes de la génération Z sont de plus en plus compliqués à gérer dans l’entreprise. Ils sont versatiles et allergiques à la hiérarchie. Ils  paraissent surtout imprévisibles avec des ambitions difficiles à satisfaire.

Selon les données de l'URSSAF, 39.000 salariés sont dans des entreprises en liquidation au troisième trimestre en France.

Patrick Martin, le président du Medef, et Philippe Aghion, professeur au Collège de France, ont constitué un collectif d’économistes et de chefs d’entreprise pour ramener le débat politique à la réalité des chiffres et des faits, et retrouver le chemin de la prospérité perdue.

L’exercice que Michel Barnier a accepté n’est pas facile. Il doit partager un diagnostic dont le président, qui l’a nommé, est en partie responsable. On ne lui demande pas de faire des miracles, mais d’obtenir des résultats d’amélioration.

En 2023, 57.729 défaillances d’entreprises ont été enregistrées. Depuis le début de l’année 2024, près de 30.000 chefs d’entreprises ont perdu leur emploi, selon une étude de l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs de GSC et du cabinet Altares.

De plus en plus d’entreprises sont obligées de mettre la clé sous la porte après des attaques informatiques. Les pirates mettent à terre les systèmes de paiement ou les données précieuses des sociétés ciblées.

Retrouvez la table ronde organisée ce mardi 27 août par CommStrat à la REF sur Les enjeux de la compétitivité dans le secteur du transport et de la logistique.

Retrouvez la table ronde organisée ce lundi 26 août à 15h40 par CommStrat à la REF.

Retrouvez la table ronde organisée ce lundi 26 août à 15h par CommStrat à la REF sur le secteur du transport et de la logistique.

Ce lundi 26 août, le syndicat patronal ouvre son université d'été à Paris. L'occasion de redire son souhait de "visibilité" et de "stabilité" dans cette période d'incertitude politique.

Le Medef réunit les chefs d’entreprise la semaine prochaine à l’université d’été. Avec comme objectif : rappeler au pouvoir politique que le succès des JO montre que le pays doit être capable de redresser le modèle français qui est en voie d’asphyxie.

Selon l'enquête Salary Budget Planning – Édition juillet 2024 sur les tendances des politiques de rémunération, menée par WTW, les budgets prévisionnels médians d’augmentation pour 2025 s’élèvent à 3,6 %, affichant une progression quasiment identique à celle de 2024 (3,8 %).

Dans l’attente d’un deuxième tour qui pourrait accoucher d’un gouvernement sans majorité, les chefs d’entreprise essaient déjà d’imaginer comment la France pourrait alors fonctionner avec une administration sans pouvoir politique.

Incertitudes géopolitiques, trésorerie... Les chefs d’entreprise s’inquiètent. Au Medef, à la CGPM, à Ethic …Selon l'étude Cabinet ARC / IFOP : 80 % des entreprises interrogées ne prévoient pas de croissance de leur activité au 2nd semestre 2024. Les incertitudes politiques s’ajoutent aux incertitudes de la conjoncture.

Du Medef à la Cgpme, la perspective d’une majorité électorale qui donnerait au RN de Marine Le Pen le pouvoir de gouverner inquiète sérieusement les marchés internationaux et les chefs d’entreprise. Ces derniers considèrent que les promesses du programme ne sont pas applicables et vont aggraver la situation.

L’étude IFOP réalisée pour le Cabinet ARC sur l’état d’esprit des entreprises françaises et la perception de leur avenir en 2024 confirme l'analyse des chambres de commerce et les prévisions officielles de Bercy : l'activité a commencé à se ralentir, ce qui va poser des problèmes de financement dans les TPE/PME.

Les chefs d'entreprises ont mis « l’ange Gabriel » sous surveillance avec un a priori favorable parce que son mode de fonctionnement, fondé sur le diagnostic et la réaction pour dégager un résultat, leur ressemble.

Les milieux d'affaires se moquent de savoir si le prochain gouvernement sera plus à droite que le précédent. Les chefs d'entreprises veulent de la performance dans la gestion de la maison France, et donc des résultats économiques seul moyen de renforcent l'autonomie et la puissance du pays.