Mais aussi une casquette qui voit rouge, trois aiguilles qui régulent le temps et une « plongeuse » qui se donne des grands airs…
7 décembre 2024Le Réseau Atlantico
Best-Of du 30 novembre au 6 décembre
Grégory Pons est né en 1952. Journaliste français (CFJ) passionné d'horlogerie, il est une des rares professionnels européens à s'être spécialisé dans l'analyse de cette industrie et dans la création de nouveaux supports horlogers pour le grand public.
En plus de nombreuses interventions dans la presse magazine, il a mis en place Business Montres & Joaillerie, « médiafacture d’informations horlogères depuis 2004 », un site unique au monde par son concept de « quotidien des Montres » 0 % publicité-100 % liberté. Il est basé à Genève, pays des montres, des lacs alpins et de la démocratie.
Mais aussi une casquette qui voit rouge, trois aiguilles qui régulent le temps et une « plongeuse » qui se donne des grands airs…
Mais aussi une fracturation arctique, une infinie patience en fil de soie, une friandise d’Art déco tricolore, une précision sans preuves et des raquettes qu’on recycle…
Mais aussi une mixologie festive, une crémeuse rétro-classique, un coussin noir comme une orange, des serpents, des statistiques et des orages magnétiques en mode épiscopal…
Mais aussi un coussin qui affole les prix, un calendrier séculaire qui retarde le changement, une « plongeuse » qui se ressource et une friandise à vocation « militaire »…
Mais aussi le retour bleu des heures numériques, l’or rose d’une mini-inspirée, le trident des aviateurs embarqués, les montres de l’année et les miroitements d’un lac en fusion…
Mais aussi une gravure qui ne broie pas du noir, un cœur de pierre venu d’Afghanistan, un cowboy d’argent, des urnes de saison, un grand prix désabusé et un grand opéra futuriste sur le temps…
Mais aussi une sportive chic qui fait dans la sobriété exhibitionniste, une tic-tac tactique de gendarme, une nonagénaire dans le bleu, des statistiques en toc et une rosace horlogère pour Notre-Dame…
Mais aussi de l’iridescence ronde en plein carré, de la luminescence post-militaire, de l’exigence légendaire et de la naissance familiale, le tout en mode exclusivement tricolore…
Mais aussi une plongeuse venue d’ailleurs, une affirmation bicolore, une star de l’espace, un fétiche en vert et contre tout, un crâne monochrome et une passion chinoise…
Mais aussi une inspiration automotive « ronde dans le carré », une compilation stylistique tricolore, le tourbillon qui vole en faisant des ronds dans l’eau, une flibusterie à l’italienne et une philosophie cosmique russe sur fond de ciel étoilé…
Mais aussi une sobriété spectaculairement ostentatoire, une jeune Française spectaculairement séduisante, une coursière nautique spectaculairement dessinée et une Vénitienne spectaculairement tarifée…
Mais aussi le retour estival d’une icône vintage, un sautoir musical de grand luxe, une lumière qui se lève en Orient, des statistiques piteuses, des valses managériales et une montre « présidentielle »…
Mais aussi le tourbillon des vingt ans qui souffle ses trente bougies, les douze danseurs d’une nouvelle nation horlogère, la légèreté orange d’un plaisir estival, le rendez-vous de la rentrée et la Breguet de M. le comte…
Mais aussi une légende pré-iconique de notre temps, une aventurine lunaire qui sait y faire, une aventurière sous un dôme, un régime « coup de poing » amincissant et des statistiques inquiétantes…
Mais aussi une aubaine électro-mécanique en style vintage, une précieuse distinction toute en rose, une montre réglementaire quintessentielle, des cyberpirates menaçants et une escale de grande luxe…
Mais aussi une séduisante discrétion horlogère (très suisse), une alternative apaisée, une « plongeuse » requalifiée, un David qui a vaincu Goliath et un chronographe de mémoire…
Mais aussi un tonneau qui va du maillot de bain au costume, une aiguille orange comme autrefois, un sourire qui s’arrondit à six heures, des chaises musicales et une montre à jeter de la tour Eiffel…
Mais aussi une plongeuse qui compte pour trois, un « retour en vol » pour les amateurs japonais, une élégance urbaine par mille mètres de profondeur et une fée verte américaine…
Mais aussi une cathédrale qui carillonne au poignet, des cubes qui changent le style d’un cadran, une « plongeuse » restylée, des enchères médiocres et une règle à calcul circulaire…
Mais aussi une bouquet de couleurs bien reformulé, une vision latérale de la conduite, l’impertinence pétillante du rose, les caprices d’une star et la transparence en habit rouge…