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Crédits Photo: PHILIPPE DESMAZES / AFP
Mais çà et là, des tas de poubelles et cartons non ramassés viennent rappeler au passant le mouvement social en cours.

Alerte rouge

Grève des éboueurs : le tour de France de la puanteur

A Paris, avec le redoux, la grève des éboueurs commence sérieusement à se faire sentir. Le volume de déchets non ramassés continue de monter, comme le ton entre le gouvernement et la mairie, au huitième jour de la grève des éboueurs contre la réforme des retraites.

Une semaine après le début de la grève reconductible enclenchée le 7 mars, la rue Montorgueil n'est pas "à l'arrêt", loin de là : à l'heure du déjeuner, cette artère piétonne et très commerçante en plein cœur de Paris grouille de riverains comme de touristes.

Mais çà et là, des tas de poubelles et cartons non ramassés viennent rappeler au passant le mouvement social en cours.

"C'est horrible", fulmine une vendeuse de boulangerie qui ne veut pas dire son nom. "Vous vous rendez compte, si des nuisibles rentrent dans une pâtisserie, ce que ça va faire ?", ajoute l'employée.

Lundi, 5 600 tonnes de déchets restaient non ramassées, selon la mairie, un volume qui augmente chaque jour. Et "le conflit se durcit" avec le blocage du dépôt de Pizzorno, opérateur privé, prévient l'adjointe (PS) à la propreté Colombe Brossel.

Euronews

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