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Ségolène et François, couple plus royal que jamais ; de Londres à Monaco, chaude semaine pour les princesses Charlotte, l'une bébé déjà rebelle et féministe, l'autre en pleine complicité galopante avec Guillaume Canet
©DR

Revue de presse people

Mais aussi : 339 000 euros, c’est le coût de l’anniversaire de David Beckham ; 1500 euros, c’est le tarif pour cinq jours de sessions bien-être avec Estelle Lefébure ; Flavie Flament et Benjamin Castaldi : une histoire ancienne

Sandra Freeman

Sandra Freeman

Journaliste et productrice, Sandra Freeman a animé des émissions sur France Inter, LCI, TF1, Europe 1, LCP et Public Sénat. Coautrice de L'École vide son sac (Éditions du Moment, 2009), elle est la fondatrice du média internet MatriochK.

 

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En France, on leur a coupé la tête, on prône la démocratie participative, on cherche des noms les plus « républicains » qui soient pour se rapprocher de nos valeurs… mais quand une baby Windsor paraît, alors là on met sur pause notre réalité bleu-blanc-rouge, pour se laisser embaumer par des histoires de châteaux, de fées, de dragons, et on croit plus que jamais à l’amour et aux histoires de princesses. Charlotte de Cambridge est née : a star is born… enfin, pour l’instant. Tout tout tout, vous saurez tout sur Baby Charlotte. Mais avant de vous raconter des contes de princesses, faisons les comptes de la semaine.

339 000 euros ? c’est le coût de l’anniversaire de David Beckham

Le 2 mai dernier à Marrakech, alors que baby Charlotte paraissait, David lui, fêtait ses 40 ans. « Vicky a mis le paquet… parce qu’il le vaut bien » explique « Public » avec une fête de trois jours, un hotel réquisitionné, des invités « de marque » tels les Spice girls, Eva Longoria, Tom Cruise, ou Liv Tyler. Mais pas seulement : A cette occasion, David a créé un compte Instagram « pour partager son bonheur avec ses fans ». On a envie de te remercier David. Tu es un ancien footballer de talent, un« Sex symbol bankable »  (dont la fortune est estimée à 235 millions d’euros), tu es un « sexy daddy », mais tu aussi généreux avec tes fans.

1500 euros ? c’est le tarif pour cinq jours de sessions bien-être avec Estelle Lefébure (qui elle a l’air un peu tendue)

« Closer » revient sur l’entente de Estelle Lefébure et son homme, Pascal. « Une semaine dans le cadre idyllique d’un hôtel de saint-Barth avec leur petit Giuliano, il leur fallait au moins ça ». On les voit donc à Saint-Barth (grâce à des « photos exclusives ») mais les commentaires qui accompagnent ces clichés de plage dorés donnent un ton tout gris. Exemple : « avec une indéniable élégance, elle fait tout pour maintenir un couple à flot. Même si ce n’est pas toujours facile », « plus rieuse avec ses amis qu’avec lui »… et même « ils emblent loin l’un de l’autre, dans tous les sens du terme » ! (et oui dans tous les sens du terme !!!). Bref, ce séjour à Saint Barth  a pour principal mission pour Estelle de lancer ses sessions bien-être « qui mêlent yoga, paddle, diététique ». « Ce nouvel art de vivre auquel elle tient tant. Et dont lui est si loin… »

300 dollars ? c’est ce que vaut Madonna (pour un show)

Dans les pages blablabla de « Voici », on a le droit à quelques bons mots de Madonna. Mes citations choisies : « les gens dépensent 300 dollars pour des choses stupides, des sacs à main par exemple. Ils feraient mieux de travailler, d’économiser et de venir à mon show. Les 300 dollars, moi je les vaux ». C’est pas mal. Mais celle-ci est peut être plus savoureuse : « Mes conseils pour être heureux ? Soyez forts, croyez en dieu, en la liberté, comprenez votre sexualité, ayez le sens de l’humour… et masturbez-vous ».

Et vous, vous préférez les sessions bien-être d’Estelle ou de Madonna ?

A qui revient le Jackpot ? à baby Charlotte !

Le prénom de la divine enfant, c’est donc Charlotte, Elisabeth, Diana. « Paris Match » nous rappelle que « William et Kate sont des traditionalistes. Ils ne vont pas affubler leur fille d’un prénom excentrique ». Au choix, il y avait « Charlotte, Alexandra ou Victoria », trois prénoms qui « ont la cote ».

Mais il faut savoir, que le prénom n’a pas été choisi uniquement par papa et maman. « VSD » explique que, culturellement, les anglais sont « accros aux paris » depuis mille ans et « ne dérogent pas à cette folie lors des événements royaux »… de ce fait, « jusqu’à la dernière minute, le prénom a été au cœur des paris ».  et ça a donné quoi ? et bien « Charlotte tenait le haut de la rampe avec un cote de trois contre un ». Il était suivi d’Alice, Olivia, Victoria et Elisabeth. « Les parieurs ont été bien inspiré ». Sans doute. D’autant que la « moyenne des britanniques dépense 27 euros pour un pari »… et donc, pour le prénom, « les gains totaux des parieurs pourraient s’élever à 1,35 million d’euros » ! Jackpot Charlotte !!!

Combien rapportera-t-elle ?

Charlotte semble être un bon parti , et c’est parti pour un temps certain… « Paris Match » et ses experts ont calculé que « la fillette pourrait rapporter 150 millions de livres par an (200 millions d’euros) à l’économie du pays, notamment dans les secteurs de la mode et de la beauté ». pour « VSD », on tire plus vers les « 420 millions d’euros », dont « 28 - 35 millions d’euros dépensés en souvenirs », selon le Centre For Retil Research. Bref, les chiffres ne se recoupent pas forcément, mais ce qui est certain, c’est que la naissance de la princesse Charlotte va doper l’économie anglaise.

… et l’économie de notre presse people, sans doute aussi, qui a beaucoup – mais vraiment beaucoup – de choses à nous dire. Je vous avais prévenu la semaine dernière qu’on allait manger du baby royal à toutes les sauces.

Voilà donc les réponses à toutes les questions que vous n’avez pas encore eu le temps de vous poser :

Comment s’est passée la rencontre de baby Charlotte avec le vaste monde ?

Petit rappel : le 2 mai. 8h34, la duchesse de Cambridge a donc mis au monde Charlotte, bébé de 3,7kg. Et, à 18h16, « le moment magique est arrivé » décontractée, souriante et rayonnante dans sa robe à fleur blanche et jaune, Kate a partagé son bonheur avec le peuple britannique et le reste du monde ».

Comme Baby George, la petite princesse est une enfant de l’ère numérique : « En quelques instants son visage endormi fait le tour de la planète. Une rafale de Tweets – 4500 par minute célèbre sa naissance », a comptabilisé « Paris Match », qui remet démontre ainsi que « l’événement éclipse le reste de l’actualité en Grande Bretagne, à quelques jours des élections législatives », et que « les adversaires politiques en oublient leurs rivalités ».

Les photographes se pressent devant la maternité. La princesse paraît. Je sens que vous êtes du coup curieux de savoir ce que Kate et William, se sont dits, lors de « la photo » avec leur Charlotte, face au monde. Et bien voici le dialogue, restitué par « closer », tel dans un « roman photo » : les photos de la scène sont accompagnées de bulles dont les textes ont été fournis par des « traducteurs labiaux ». et ça donne ça. Kate : « il y a des caméras là haut, bonjour »… « Tu veux la porter » ? William : « non c’est bon tout va bien ». ou encore, William : « tu es heureuse maintenant ? »

Bref… merci pour la traduction labiale, mais on sent que pour le troisième bébé, des micros cravates vont s’imposer. Non ?

Physiquement,  quelle genre de fille va-t-elle devenir ?

« Closer » tente le jeu des ressemblances en accolant les photos de bébé William et de bébé Kate (les parents petits donc). A qui ressemble-t-elle ? Franchement à ni l’un ni l’autre. A un nourrisson de 10 heures. C’est tout. (c’est violent que de la ramener à un bébé normal, je sais, mais je me sois d’être honnête, vis à vis de vous !).

« Public » n’est pas du tout de mon avis et cherche à faire des comparatifs de baby Charlotte avec d’autres bébés extra-ordinaires (et pas du tout « normaux »). Elle pourrait devenir une « future princesse business comme Blue Ivy » (fruit du partenariat entre Beyonce et  Jay-Z) qui est une marque déposée : « Deux jours après sa venue au monde, Charlotte avait déjà un timbre à son effigie et une tripotée de produits dérivés en tout genre devrait suivre, du mug au paillasson en passant par le tapis de souris ». Ok… Elle pourrait être « une future princesse jet-laggée comme North » (la fille de Kim Kardashian et de Kanye West) qui « passe plus de temps à l’enregistrement des bagages que dans sa chambre d’enfant »… quel rapport ? « Charlotte a connu un emploi du temps de ministre depuis les premières heures de sa vie ». Pas très convainquant… Elle pourrait autrement être « la future princesse de la mode comme Harper » (la cadette du clan Beckham, qui est vêtue de Chloé de la tête au pied). Pourquoi ? parce que « Kate a une passion pour la mode comme Posh » (NDLR : Victoria Beckham). Et si elle était en rupture, une « future princesse rebelle comme Shiloh qui a boycotté le glamour de maman Angelina Jolie pour adopter des tenues de garçon » ? et là ce serait le drame, si Charlotte un jour décide de prendre ses distances avec le protocole ! Pour se rassurer (ou pas), je vous propose d’avancer un peu plus sur son profil psychologique maintenant.

Psychologiquement, quelle genre de caractère aura-t-elle ?

Forcément pour répondre, on se tourne vers l’astrologue ancestrale et astrale de « Gala », Sarah Sand. Evidemment, elle nous propose son thème décrypté et ça donne ça : « Notre petite princesse a un caractère bien trempé ». Elle va sans doute « désirer avoir un rôle central dans sa famille et dans le royaume de Grande-Bretagne ». « Pluton lui fera exercer sur son entourage une volonté persévérante, cachée derrière une douceur délicate et affable. Son ascendant Cancer lui donne des affinités particulières avec William et Kate » (tant mieux). « Du fait d’une photogénie exceptionnelle et du charme enjoué qui se dégagera d’elle, elle bénéficiera de l’attention soutenue des medias. On peut s’attendre à ce que sa grande autorité naturelle la place dans la lignée des grandes figures de la dynastie Windsor »… ah oui… c’est vraiment une princesse de contes de fées ! belle-intelligente-puissante-douce-charmante-et-tout-et-tout…. ! Je doute pour la première fois de Sarah Sand. Elle va trop loin à mon goût et sa prose fait penser à Charles Perrault. Je me sens donc obligée de me tourner vers « Closer » qui a su faire parler les astres avec plus de méchanceté. Anouk Ajolet, elle aussi astrologue, pense que Charlotte « a toutes le qualités d’une princesse » (ça recommence !). « Elle va admirer son père, voire l’idéaliser. Sa seule déception sera de le partager avec le peuple » (ah ! enfin des prophéties qui prennent du relief : un Œdipe tordu, on aime. Encore, SVP). « Inconsciemment, elle risque à l’adolescence de faire quelques excès pour attirer son attention ». On sera prévenu. Mais, ça va plus loin : « N’être qu’une princesse évoluant parmi les hommes qui prennent toute la place sera source de frustration »…. Ça y est, on imagine la princesse rebelle et féministe. On accroche d’autant mieux. « Closer » fait aussi appel à une médium, Isabelle Viant. Et ce qu’elle dit semble corroborer (un chouia) : Charlotte « va être adulée par son père et tombera souvent amoureuse ».

Où va vivre baby Charlotte : dans un palais à Londres ou au loin dans la forêt ?

« Paris Match »  recadre que « les quatre Cambridge vont dormir quelques nuits à Kensington » (à Londres), puis il vont poursuivre leur chemin vers le Norfolk, cette « belle terre de l’aristocratie à deux heures au nord de Londres, où la moindre bicoque vaut des millions ». C’est là leur « vraie maison ». C’est là « où Kate et William veulent élever leurs enfants, telle une famille normale ». Normale ? (on revient toujours à cette tentation quand on n’a pas la chance de l’être) A défaut d’être normaux, ils sont vraiment tradi : « Ils mènent une vie de couple à l’ancienne, où l’homme travaille et la femme s’occupe du foyer »… Bravo pour le modèle de femme donné à Charlotte (elle risque de réagir et de devenir rebelle et féministe… je dis ça même si je ne suis pas médium). Pourquoi prôner cette attitude tradi, d’autant que Kate a fait des études (et pourraient donc sortir du foyer) ? « Voici » rappelle d’ailleurs quelques faits chronologiques sur 15 ans, qui rappellent que l’histoire de Kate et William a démarré à la fac. C’était donc en 2001, les deux jeunes gens se sont rencontrés à l’université en écosse, « will a encore des cheveux (qu’il perdra) et Kate des rondeurs (qu’elle perdra)… la jeunesse quoi ». ce n’est que quelques mois après, en mars 2002, lors du « défilé organisé pour l’université que Kate a sorti l’artillerie lourde.. (comprendre sa tenue pèse 2grammes) ». « C’est le moment où William flashe sur Kate ».

Charlotte est-elle vraiment le fruit d’un conte de fées ?

Pas tant : après la rencontre de Kate et William, on ne tombe pas instantanément dans : « ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants ». Il y a eu d’abord des étapes comme ce 15 décembre 2006, «  la sortie officielle », où les Middleton font quasi parti de la famille royale. Pour preuve, Kate et sa mère sont installées au premier range de la remise des insignes militaires de William.

Mais surtout, il y a eu la rupture (en avril 2007) : « A 27 ans, Will étouffe dans leur relation. Ne supportant plus ses récents batifolages, Kate le quitte, mais rusée, elle enchaîne fêtes et sorties, rendant Will fou de jalousie ». Puis, le 1er juillet 2007, « le retour de flamme », en octobre 2010, « les fiançailles », le 21 avril 2011, « le mariage », et le 22 juillet 2013, « la naissance de baby Georges ».

Charlotte va-t-elle régner ?

Elle est « quatrième dans l’ordre de succession au trône » a analysé « closer », qui rajoute « Charlotte a déjà la prestance et la sagesse requise pour, peut être un jour, exercer ses fonctions de reine » (on a besoin de rêver).

Princesse Charlotte (l’autre, celle de Monaco) et Guillaume Canet : une amitié Galopante

« Public » est le seul des magazines à ne pas faire la couverture sur baby Charlotte british et préférer big Charlotte de monac’. L’information qui mérite ce choix éditorial est pourtant assez limite : « Charlotte Casiraghi et Guillaume Canet : Ils ne se quittent plus ! ». On n’arrive pas à croire au scoop du « coup de foudre amoureux », pour dire vrai. Pourtant le vocabulaire est ambigu : « Une amitié au triple galop », ils sont « si complices », « passionnée de courses équestres, la belle princesse et l’acteur sexy ne se quittent plus. Une entente solide que beaucoup envient »… ou encore « Guillaume Canet, le sourire plus craquant que jamais », « l’adrénaline de la couse, la puissance de l’animal, le challenge sportif : toutes ces émotions confondues, la princesse et l’acteur les ont ressenties ensemble »… Bref, on essaie de nous faire croire qu’il y a baleine sous gravillon puisqu’au fil des rendez-vous hippiques, « leur proximité est devenue évidente ».

Mais soudainement, dans le cœur de l’article on recadre qu’ils sont « tous deux en couple (elle avec Gad depuis décembre 2011, lui avec Marion Cotillard depuis octobre 2007) » que tous deux sont jeunes parents, et que de ce fait « ils se rejoignent sur les sujets essentiels ». Merci ! on comprend la couverture-méga-scoop…

Et pour finir, pèle mêle, quelques (autres) histoires de couples…

Notre couple Royal (Hollande) à nous : Ségolène et François, à nouveau fusionnels

En Une de VSD, on retrouve notre couple Royal (Hollande) à nous. « Leur couple dirige la France » affirme le journal comme l’a fait « l’Obs » aussi cette semaine. « En l’absence de première dame officielle, la ministre de l’Ecologie occupe seulement la fonction, mais elle y imprime sa marque, forte de son histoire » avec François Hollande. D’ailleurs, le chef de l’Etat compte aussi sur elle pour 2017 : « c’est une emmerdeuse ? vous, vous trouvez, mais c’est un atout » disait-il il y a 13 mois. Depuis que Valérie Trierweiler n’est plus là, ils déjeunent donc souvent le dimanche ensemble mais elle accepterait tout de même que le cœur de François soit pris : « Il se murmure que la ministre de l’Ecologie apprécie Julie Gayet ». Ouf ! il peut continuer à la voir, alors.

Flavie Flament et Benjamin Castaldi : une histoire ancienne

 « Voici » et « Closer » citent Flavie dans l’émission de Thierry Ardisson la semaine dernière. Elle s’est confiée sur son mariage avec Benjamin Castaldi « ça correspond à une période de ma vie qui est désormais loin derrière. A ce moment là tout m’a échappé en terme d’image et de notoriété. Le seul souvenir heureux, c’est que j’ai eu un fils merveilleux ». Mais il semble que Flavie ait connu d’autres phases douloureuses dans sa vie. « La violence conjugale ? ça m’est arrivé … ». et puis l’anorexie « qui l’a touchée à 20 ans, lorsqu’elle ne pesait que 46kg pour 1,69m ».

The Voice et sa progéniture : Lilian et Anne Sila, « la vérité sur leur histoire »

C’est en appel de couverture de « Closer ». Quelle est cette « vérité » ? En lisant dans les pages intérieures, on la cherche encore. Je lis : « Le jeune gagnant du télécrochet aurait succombé au charme d’Anne Sila, sa concurrente », « c’est la rumeur qui courait dans les coulisses de la finale de The Voice ».

Ok merci !

Et Jenifer, on ne la voit pas en couv’ d’un tabloïd sans raison, cette semaine ? mais oui, j’ai gardé ce suspens jusqu’au bout. C’est dans « Voici » qu’on apprend que pour elle « the Voice, c’est fini ». Enfin peut-être. Il y a ce sondage « qui fait mal » provenant de Télé Loisir, selon lequel : 1/3 des téléspectateurs souhaiteraient qu’elle cède son fauteuil de coach l’an prochain. Et puis il y a cette réalité de l’instant : Elle va enfin profiter de Joseph qui lui a manqué.

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