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Julie et François : un deuxième nid d'amour chez Manuel Valls ?, Valérie T. : sa "compensation" en détails, Charlène de Monaco : le gros coup de chaud
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Revue de presse people

Mais aussi le choix, pas si cornélien, de Julie Gayet entre sa carrière et l’Elysée, la grande histoire d’amour de Ségolène Royal avec Dominique Besnehard, la retraite dorée de Gad “ LCL ” Elmaleh et, et, et… le drôle de cadeau “ génital ” offert aux actrices nominées aux Oscars. Ah, y’a du y’a bon, dans la RP people !

Barbara Lambert

Barbara Lambert

Barbara Lambert a goûté à l'édition et enseigné la littérature anglaise et américaine avant de devenir journaliste à "Livres Hebdo". Elle est aujourd'hui responsable des rubriques société/idées d'Atlantico.fr.

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En cette semaine de remise des César (mais aussi des Oscar), la tentation était grande, pour certains, de ressortir de sa housse “ l’affaire Gayet ”. “ Gala ”, qui affiche l’actrice en couverture, n’y a pas résisté… “ Julie Gayet à l’heure du choix ”, tonne le people. A l’heure du choix… à l’heure du choix… mais entre quoi et quoi ? “ Entre l’Elysée et sa carrière ”, affirme “ Gala ”. Houla ! L’heure est grave, on dirait…

Julie Gayet recluse chez elle

“ Sa vie (…) a bien changé depuis que son histoire d’amour avec François Hollande a été dévoilée, commence le mag. Traquée par les paparazzis — elle vient de déposer une plainte pour mise en danger de la vie d’autrui —, elle est souvent recluse chez elle, et travaille par téléphone. (…) Elle a dû annuler plusieurs déplacements professionnels. Comme ces quelques jours qu’elle était censée passer fin janvier, à Roanne, où doit se tourner le film d’Olivier Loustau, “ La fille du patron ” avec Christa Theret, Richard Bohringer et Florence Thomassin. Un long-métrage que produit la jeune femme. Julie Gayet n’a pas pointé non plus le bout de son joli minois au déjeuner des nommés aux César, le 8 février dernier. (…) De l’avis général, il est peu probable qu’elle se montrera le 28 février au Théâtre du Châtelet pour la remise des récompenses ”. Et pourtant, elle l’a fait, comme on l’a vérifié… Pourquoi, après tout, n'aurait-elle pas dû être là ?

Julie pourra-t-elle rester à la tête de sa maison de production ?

Mais revenons à "Gala". La comédienne, poursuit le journal, “ n’a pas encore confirmé sa présence à New York, le 6 mars, pour le Rendez-vous with French Cinema Festival. Son documentaire “ Cinéast(e)s ” y sera pourtant présenté. Pourra-t-elle rester à la tête de la maison de production Rouge International, quand chacun des financements accordés à cette dernière sera désormais suspecté ? Fini, en tout cas, les séances de débriefing interminables avec son associée, Nadia Turincev, et leurs quatre collaborateurs, dans leurs locaux. Ces derniers, situés rue du Faubourg-Saint-Honoré, jouxtent le saint des saints… élyséen. Or Julie Gayet se refuse à toute provocation. (Il ne faut pas) compter sur elle (…) pour fouler les tapis rouges et autres perrons du pouvoir, dans le monde entier, au bras du chef de l’Etat. ce dernier a d’ailleurs évoqué, lors de ses vœux à la presse, sa réticence à installer plus officiellement dans la République la fonction de première dame ”.

L’Elysée ou sa carrière, Julie a choisi…

“ Volonté présidentielle ou désir personnel de discrétion, remarque “ Gala ”, Julie Gayet ne semble pas prête à se glisser dans les habits de First Lady. (Ses parents, comme ses amis) savent que cette jeune femme, indépendante avant tout, ne lâchera pas la proie pour l’ombre et ne renoncera pas à sa carrière. (…) L’écrivaine et réalisatrice Géraldine Maillet, qui compte parmi ses amies, a écrit deux courts-métrages et un long pour elle. “ Elle m’a toujours suivie et toujours dit oui, confie-t-elle à “ Gala ”. Même pour tourner à l’arrache, le week-end en plein été, ou de nuit l’hiver. C’est une alliée, présente à chaque embûche. On ne peut être que porté par son envie. Elle galvanise les troupes ”. (…) Cette créatrice curieuse de tout et ouverte sur le monde le proclame sur le site de sa maison de production : “ L’universel commence quand on pousse les murs de sa cuisine ”. Les murs lambrissés de l’Elysée seraient eux aussi trop étroits ”. Entre l’Elysée et sa carrière, si on résume, Julie a choisi sa carrière — ce qui ne veut pas forcément dire qu’elle a renoncé à François… Ca risque d’être assez rock’n’roll à gérer (ça l’est déjà), mais ce sera toujours plus simple que de vouloir à la fois garder son boulot et jouer les premières dames, comme l’a fait (ou a tenté de le faire) une certaine Valérie Trierweiler…


L’appartement de Valls, refuge des amours de Julie et François ?

L’actrice-productrice a beau s’imposer le silence et renoncer à des rendez-vous professionnels tandis que le président, de son côté, semble résolument décidé à faire en sorte qu’il n’y ait pas de nouvelle première dame à l’Elysée, certains ne se privent pas d’y aller de leurs petites confidences… “ L’entourage de Nicolas Sarkozy n’a pas fini d’utiliser l’affaire Gayet-Hollande, indique “ VSD ” dans un tout petit entrefilet. Récemment, c’est pour mouiller Manuel Valls qu’un proche de l’ex-chef de l’Etat a fait quelques confidences à certains journalistes. “ On savait que Hollande retrouvait quelqu’un. Mais pas rue du Cirque, plutôt dans un appartement du côté de Bastille ”. Et qui habite “ du côté de Bastille ” ? Le ministre de l’Intérieur, pardi ”. Ah, ben, celle-là, elle est un peu forte de café ! Vrai ? Faux ? Très chic, en tout cas, et dans tous les sens du terme…

Valérie T. : le montant de la “ compensation ”

Et puisqu’on a abordé le chapitre des petits faits sordides, “ VSD ”, toujours, nous donne des détails quant à la “ compensation ” que François Hollande se serait engagé à verser à Valérie Trierweiler. “ Le président payerait jusqu’à la fin de son mandat les 3 000 euros de loyer de l’appartement qu’il partageait avec Valérie Trierweiler, dans le 15e arrondissement de Paris, rappelle le journal. Il verserait aussi une pension mensuelle pour l’éducation de ses trois enfants. Une compensation “ qui, selon la rumeur, pourrait atteindre les 3 millions d’euros ” annonce l’édition espagnole de “ Vanity Fair ” datée du 20 février. Une donnée que n’a pas démentie l’ex-première dame, contrairement aux textos que l’article lui prête, des “ SMS totalement inventés dans “ Vanity Fair ” Espagne ” a-t-elle réagi via Tweeter (sic) ”. C’est pas fini…

“ L’accord ne comporterait pas de “ pacte de silence ” ”

“ Cet accord, poursuit “ VSD ”, ne comporterait néanmoins pas de “ pacte de silence ” car Valérie “ ne le tolèrerait pas ”. Quid d’un livre ? “ Jusqu’à présent, toutes les premières dames trompées ont accepté la situation, elles n’ont jamais rien dit, commente William Massonneau, le frère aîné de la journaliste de “ Paris Match ”. Ce n’est pas normal que les femmes se taisent ” ”. Oh, mais on dirait qu’il y a une sacrée belle conscience derrière cette menace à peine voilée : une conscience féministe, même ! D’autant plus remarquable qu’elle émane d’un homme… Quelle noblesse ! Quelle grandeur d’âme ! Histoire de ne pas épiloguer, on se contentera de rappeler, à toutes fins utiles, à M. Massonneau que, ni Cécilia Sarkozy, ni même Bernadette Chirac, ne se sont privé d’évoquer, dans leurs livres, la “ dissipation amoureuse ” de leurs maris respectifs. Quant à savoir si cela est utile, et encore plus nécessaire…

La “ grande histoire d’amour ” de Ségolène Royal et de Dominique Besnehard

On ne sort pas de la famille Hollande, cette semaine, on dirait… A l’occasion de la sortie de ses Mémoires, “ Casino d’hiver ” (Plon), l’agent artistique Dominique Besnehard a accordé deux grandes interviews à “ Gala ” et “ Elle ”. C’est dans ce dernier, qui a profité de la Fashion Week pour inaugurer sa nouvelle maquette — très, très blanche, très “ publi-communiqué ” —, que l’ami des stars se confie le plus longuement sur les motifs de sa “ rupture ” avec celle qu’il a longtemps soutenue, on veut parler, bien sûr, de Ségolène Royal. “ Ségolène Royal, on a l’impression que c’est votre grande histoire d’amour ”… lui lance “ Elle ”. —“ Personne ne m’a jamais déçu comme elle, dit-il. J’ai cru que c’était la plus belle rencontre de ma vie et cela s’est fini par la plus douloureuse des blessures. Elle a écrit dans l’un de ses livres que j’étais un ange tombé du ciel, ce n’est pas moi qui ai inventé ça. Elle m’envoyait des textos déments : “ Je me réveille, je pense à vous, vous me donnez du souffle ”. Elle me troublait. C’est la seule fois où j’ai senti que, puisque j’étais homosexuel, je m’empêchais d’exprimer mes désirs, comme s’il m’était impossible de dépasser l’interdit. En réalité, j’étais amoureux ”. Wow !

“ Hormis avec ses enfants, Ségolène est handicapée dans ses relations ”

—“ Comment expliquez-vous qu’elle ait rompu de manière si brutale ? ”, lui demande le mag. —“ Je pense que Ségolène, hormis avec ses enfants, est handicapée dans ses relations. Elle a un problème de contact, ne regarde jamais les gens dans les yeux. Après sa défaite, elle m’appelait trois fois par jour, elle me faisait penser à une actrice qui traverse une période de solitude. Il me semble qu’elle avait une grande affection pour moi, mais l’animal politique a pris le dessus. On lui a reproché d’avoir une image trop citadine, elle a voulu se rapprocher des provinciaux qui forment sa base, et elle m’a sacrifié. Mais surtout, elle avait rencontré cet homme, André Hadjez, qui a fait le vide autour d’elle. Le matin même de l’ouverture de la deuxième édition de mon festival d’Angoulême, elle a fait paraître un communiqué terrible dans “ Charente libre ”. Un assassinat en règle et en public. (…) Comme il fallait qu’elle trouve un prétexte, elle m’a accusé d’avoir alimenté en ragots les Guignols de l’info… J’étais tellement atteint que je n’ai pas pu me lever, j’étais totalement paralysé du côté gauche. Le médecin m’a demandé si j’avais eu un deuil. J’ai dit oui. Il s’appelle Ségolène Royal ”. Hé bé…

Charlène de Monaco : le gros coup de chaud

D’une rupture, l’autre ? Même s’il est beaucoup trop tôt pour le dire, une chose est sûre : la crise, latente, qui couvait entre Albert et Charlène de Monaco s’affiche désormais au grand jour… et en couverture de “ Voici ” qui publie de bien drôles de clichés. “ On ne sait pas si c’est la température de l’air ou le nombre de verres qu’elle a enquillé tout l’après-midi, raconte le people, mais la princesse de Monaco a eu un gros coup de chaud ce dimanche 16 février, au très chic restaurant de plage le Bonito, à Saint-Barth où elle est en vacances pour quelques jours. (…) Entourée d’hommes et de bouteilles de blanc bien frappé, la jeune femme s’est livrée à un spectacle sidérant. On l’a vue chanter à tue-tête, embrasser goulûment la joue d’un convive — le révérend anglican Charlie Vere Nicoll —, danser en se renversant dans les bras d’un autre, et même carrément s’affaler sur un homme aux faux airs d’Albert. Sauf que ce n’était pas Albert. Et pour cause : le prince était resté seul dans le froid glacial de Sotchi, olympisme oblige… ”

Impossible, désormais, de cacher la crise que le couple traverse

“ Le Rocher est sonné, poursuit “ Voici ”. Les uns prétendent qu’elle aurait un amant. Ce n’est pas la première fois que la rumeur circule : en avril 2012, on lui avait déjà prêté une complicité un peu trop étroite avec l’ex-rugbyman Byron Kelleher. Les autres essaient de comprendre pourquoi l’épouse de leur chef d’Etat a brusquement dérapé. (…) La princesse en mode pilier de bar, forcément, ça fait tache. (…) Car les photos de l’épouse d’Albert de Monaco sont avant tout le symptôme de la grave crise que le couple princier traverse. Crise qu’il devient de plus en plus difficile de cacher… ”

Quand bien même Albert est loin de se comporter en “ prince charmant ”, la séparation n’est pas envisageable

“ Une séparation est-elle pour autant envisageable ? s’interroge le mag. “ Le prince ne veut pas qu’elle parte ”, affirme-t-on. Question d’image. Pas de rupture pour l’heure, mais déjà l’affront est là et le malaise se creuse devant cette Charlène beaucoup trop déchaînée… En se lâchant à Saint-Barth, a-t-elle voulu envoyer un message à son mari qui, si l’on en croit les confidences des Monégasques, est loin d’être un prince charmant ? Il n’aurait en effet pas renoncé à ses sorties dans les restos et les grands hôtels, où il s’entoure toujours de jolies filles… ” Sympa, tout ça… Cela nous amène à nous poser une question : pourquoi on n’a pas de photos d’Albert en train de rigoler avec des filles, hmmm ? Hmmmm !

Caroline très remontée contre Charlène

Loin de se montrer compréhensive, voire solidaire à l’égard de sa belle-sœur, la princesse Caroline serait au contraire, d’après “ Voici ”, très remontée contre Charlène. “ Quelle déception ! s’exclame la mag. Elle avait tant œuvré pour l’intégrer sur le Rocher. Caroline n’a pas digéré l’absence de Charlène au mariage d’Andrea avec l’héritière Tatiana Santo Domingo, à Gstaad, le 1er février. Le gotha a jasé, et depuis, les relations sont tendues entre les deux femmes. Intransigeante sur le respect de l’étiquette, Caroline juge sa belle-sœur ingrate. Comme si celle-ci refusait désormais de jouer le jeu… ” Car il s’agit bien de cela : de jouer le jeu, de faire semblant, quoi. Ah, elle est sympa, Caro ! Un vrai petit cœur…

Caroline très compréhensive avec Gad “ LCL ” Elmaleh

Visiblement, princesse Caro est beaucoup plus satisfaite de la manière dont son nouveau “ gendre ”, Gad Elmaleh, “ joue le jeu ”… A preuve, nous raconte “ Closer ”, l’humoriste a été associé, pour la première fois, à ce qui est “ un rituel pour la famille de Caroline : les vacances de février dans la station autrichienne de Zürs, au cœur du Vorarlberg, où la princesse réserve une suite au luxueux Sporthotel Lorünsel. (…) Ce séjour au ski en famille, note encore le people, ne pouvait pas mieux tomber pour l’humoriste, pour se régénérer, entouré des êtres les plus chers à son cœur ”. Ah bon, et pourquoi ? Parce que Gad a été très éprouvé ces derniers temps, figurez-vous… Heu, par la paternité ? Bé non : “ par les réseaux sociaux, (et) notamment sur Twitter, où il est devenu la cible de critiques ou de moqueries allant jusqu’à la parodie, explique “ Closer. En cause ? Sa prestation dans un nouveau — et assez médiocre, il est vrai — spot publicitaire pour LCL, pourtant réalisé par Patrice Leconte (…) ”. C’est vrai que dans le genre mauvais, le spot se pose un peu là… Quant à la raison pour laquelle l’humoriste a choisi de “ jouer ce jeu-là ”, on a, nous aussi, un peu de mal à la comprendre, même s’il est clair qu’elle est d’ordre financière… Le décalage entre l’image que veut se donner le gentil Gad et le type de la pub LCL, c’est ça qui passe pas… et qu’illustre assez bien, finalement, son entrée dans le clan Grimaldi…

Un traitement pour rajeunir les tissus génitaux de la femme dans le “ panier garni ” des nominés aux Oscar

Un petit truc rigolo, pour finir ? A la veille de la cérémonie des Oscar, dans la nuit de dimanche à lundi, “ Closer ” nous apprend que même les perdants à la prestigieuse distinction auront droit “ à quelques sympathiques goodies, puisqu’un sac d’une valeur de 58 000 euros sera remis à chacun des nominés. En vrac, des bijoux, des alcools de luxe, des voyages, des produits pour les animaux et près de 700 euros de produits amincissants ! Classique. Mais, plus étrange, les actrices auront un traitement “ O Shot ” à 1 900 euros pour rajeunir les tissus génitaux de la femme (si, si !) Les acteurs y découvriront un traitement efficace contre la perte des cheveux, à 11 000 euros ! Bref un panier garni tout-terrain ! ” Tu l’as dit, “ Closer ”… Bon week-end, les lapins !

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