Ukraine, le point : après avoir nié, la Russie reconnaît avoir bombardé le port d'Odessa<!-- --> | Atlantico.fr
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Char russe
Char russe
©Konstantin Mihalchevskiy / AFP

Guerre

Le ministre russe des Affaires étrangères en déplacement en Afrique

L’invasion russe de l’Ukraine, déclenchée le 24 février, est entrée dimanche dans son sixième mois.

Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, a entrepris une tournée dans plusieurs pays d’Afrique. En visite en Egypte dimanche, il a tenu à rassurer ses partenaires égyptiens après l’accord sur des « couloirs sécurisés » pour les exportations de grains d’Ukraine et de Russie écrit Le Monde.

Samedi, Moscou niait auprès d'Ankara toute implication dans les frappes qui ont touché le port d'Odessa, crucial pour la reprise des exportations de céréales souligne Le Figaro.

La porte-parole de la diplomatie russe a finalement affirmé dimanche 24 juillet que des missiles russes avaient détruit la veille des infrastructures militaires dans le port d'Odessa.

«Des missiles Kalibr ont détruit des infrastructures militaires du port d'Odessa, avec une frappe de haute précision», a écrit Maria Zakharova sur son compte Telegram, en réponse à une déclaration du président ukrainien Volodymyr Zelensky affirmant que ces frappes avaient détruit la possibilité d'un dialogue ou d'une entente avec Moscou ajoute Le Figaro.

Avant l’annonce des tirs de missiles sur Odessa, l’Union africaine s’était « félicitée » samedi de l’accord sur les exportations de céréales, saluant un événement « bienvenu » pour le continent, qui fait face à un risque accru de famine. L’accord, dont la signature a fait baisser les cours du blé, doit permettre d’exporter 20 à 25 millions de tonnes de grains bloquées en Ukraine précise Le Monde.

La ville de Sloviansk, dans la région de Donetsk, serait le point de subir une attaque russe d’envergure. Son maire, Vadym Liakh, demande aux habitants de quitter de toute urgence la commune, voisine de Kramatorsk. Sloviansk est partiellement détruite alors qu’elle comptait de nombreux bâtiments historiques avant l’invasion russe écrit Le Monde.

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