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Meurtre d’un veilleur de nuit : l’enquête se poursuit, sept jeunes remis en liberté
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Drame

La victime, âgée d’une soixantaine d’années, travaillait dans le centre éducatif de Magnac-Laval (Haute-Vienne). Il a été tué de plusieurs coups de couteau.

Les circonstances de la mort d’un veilleur de nuit dans un centre éducatif de formation professionnelle de Haute-Vienne, tué de plusieurs coups de couteau, demeurent toujours mystérieuses. Cependant, les enquêteurs continuent d’étudier plusieurs pistes ce dimanche. En l’état actuel des investigations les sept jeunes du centre qui avaient été placés samedi en garde à vue ont été "remis en liberté", a annoncé le parquet dimanche.

"Au terme des auditions aucune charge n'a été retenue à l'encontre des mineurs à l'issue de leur garde à vue. Celle-ci a été levée à 23h30 hier et les jeunes remis à la direction de l'établissement", a déclaré lors d'un bref point de presse le procureur de la République de Limoges, Michel Garrandaux. Il a précisé que l'établissement resterait "bien entendu fermé pour les besoins de l'enquête" et que ses élèves seraient de ce fait "placés dans d'autres structures".

C'est l'un des sept mineurs qui dormaient dans le centre éducatif de formation professionnelle du Vieux Collège, à Magnac-Laval (Haute-Vienne), qui a donné l'alerte vers minuit, dans la nuit de vendredi à samedi. Le jeune a signalé avoir entendu du bruit et constaté que le veilleur de nuit, seul adulte alors présent dans le foyer, avait été tué.

"Nous continuons de travailler sur toutes les hypothèses", a poursuivi le magistrat, en précisant que "l'élément clef de cette enquête", "l'arme du crime", restait "introuvable". Le veilleur de nuit, âgé de 60 ans, a été retrouvé dans "une mare de sang", victime d'un tel nombre de coups de couteau que le procureur avait parlé "d'acharnement".

Le corps de la victime devrait être autopsié à Limoges en début de semaine, "ce qui permettra d’établir si l’une des blessures en particulier est à l’origine de la mort et si une ou plusieurs armes ont été utilisées contre lui", a précisé le procureur.

Lu sur Libération.fr

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