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Le gouvernement envisage de réformer les études de médecine en s'attaquant au numerus clausus et au concours en fin de première année
©FRANCOIS GUILLOT / AFP

Révolution

Deux options sont étudiées par le gouvernement afin de réformer les études de médecine.

Après la réforme du système de Parcoursup, le gouvernement songe à modifier les études de médecine. 

Selon des informations de France Info, le gouvernement souhaite mettre un terme au numerus clausus ainsi qu'au concours en fin de première année. Cet examen, très sélectif, donnait des sueurs froides à tous les étudiants en médecine. Avec le système actuel, seul un candidat sur sept était sélectionné. En 2017, 8 200 candidats ont été reçus en médecine sur presque 60 000 candidats. Les étudiants passeront dorénavant des partiels qui leur permettront d'aller en deuxième année.  

Une dérégulation du nombre de médecins pourrait également être prochainement mise en place. Le numerus clausus ne devrait donc pas pour autant totalement disparaître. 

Le gouvernement a deux options sur la table. Une ouverture complète ou la conservation d'une forme de sélection, à l'issue de la licence, en fin de troisième année avec la possibilité de maintenir un concours. 

La question n'est pas encore définitivement tranchée. Le gouvernement souhaite néanmoins réformer les études de santé afin de les rendre "plus humaines" et "plus modernes", selon une source proche du dossier auprès de France Info

Lu sur France Info

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