Jacqueline Sauvage va quitter sa prison lundi en vue d'être libérée <!-- --> | Atlantico.fr
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"Cette grâce lui permet de présenter immédiatement une demande de libération conditionnelle", expliquait l'Elysée dans un communiqué.
"Cette grâce lui permet de présenter immédiatement une demande de libération conditionnelle", expliquait l'Elysée dans un communiqué.
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Grâce présidentielle

Après une analyse psychologique et médicale, la commission pluridisciplinaire des mesures de sûreté, présidée par le préfet du département et un bâtonnier, décidera de confirmer ou non sa libération.

Selon les informations révélées ce vendredi par une source proche du dossier, Jacqueline Sauvage, condamnée à une peine de 10 ans d'emprisonnement pour avoir tué son mari qui la battait, sortira lundi 8 février de la prison de Saran dans le Loiret, après avoir été "partiellement" graciée par le chef de l'Etat. 

En vue de libération, sa "dangerosité" devra d'abord être évaluée, et Jacqueline Sauvage sera donc transférée au Centre national d'évaluation (CNE) de Réau (Seine-et-Marne) où elle fera l'objet d'une analyse psychologique et médicale. Dans un second temps, la commission pluridisciplinaire des mesures de sûreté, présidée par le préfet du département et un bâtonnier, décidera de confirmer ou non sa libération. 

La semaine dernière, François Hollande avait décidé d'accorder à cette femme de 68 ans "une remise gracieuse de sa peine d'emprisonnement de 2 ans et 4 mois ainsi que de l'ensemble de la période de sûreté qu'il lui reste à accomplir", afin qu'elle puisse être libérée au mois d'avril.  "Cette grâce lui permet de présenter immédiatement une demande de libération conditionnelle", précisait le communiqué de l'Elysée. 

Lu sur Le Point

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