Immobilier : les taux d'intérêt de crédits à leurs plus bas historiques<!-- --> | Atlantico.fr
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Le rebond des crédits immobiliers se poursuit au mois d'avril.
Le rebond des crédits immobiliers se poursuit au mois d'avril.
©Reuters

Etude

Une étude de l'Observatoire Crédit Logement/CSA révèle ce lundi que les taux d'intérêt des crédits immobiliers accordés aux particuliers par les banques en France se sont établis à 3% en moyenne.

Les taux d'intérêt des crédits immobiliers historiquement bas. L'Observatoire Crédit Logement/CSA révèle en effet ce lundi dans une étude que les taux d'intérêt des crédits immobiliers accordés aux particuliers par les banques en France ont atteint un nouveau plus bas historique à 3% au mois d'avril, sept points de base sous le précédent record établi en mars. Sur un an, la baisse des taux atteint 0,82 point de pourcentage.

L'Observatoire Crédit Logement/CSA indique ainsi dans un communiqué qu'"en avril 2013, les taux des prêts du secteur concurrentiel (hors assurance et coût des sûretés) se sont établis à 3,00% en moyenne" ajoutant que "jamais par le passé, les taux des crédits immobiliers n'étaient descendus aussi bas". L'Observatoire Crédit Logement/CSA explique par ailleurs que "la baisse des taux se poursuit, sous l'effet d'une diminution exceptionnelle du coût des ressources et du maintien des taux de sinistralité des emprunteurs à très bas niveau".

Le communiqué publié ce lundi indique également que la baisse des taux du mois d'avril bénéficie autant au marché du neuf (2,98% en avril contre 3,93% en février 2012, c'est-à-dire juste avant que la baisse des taux ne commence) qu'au marché de l'ancien (2,99% contre 3,97% au mois de février 2012) et dans une moindre mesure à celui des travaux (3,04% contre 3,93% au mois de février de l'année dernière).

L'Observatoire Crédit Logement/CSA explique enfin que la baisse des taux "s'appuie sur la volonté des établissements de crédit de soutenir l'activité de marchés en forte contraction, dans un climat de concurrence que le renouveau saisonnier habituel de la demande ne fait que renforcer".

Lu sur Les Echos

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