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Meetings : Nicolas Sarkozy et François Hollande annoncent chacun 100 000 participants.
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Duel

Les deux favoris à la présidentielle se sont affrontés cet après-midi à Paris par meetings interposés.

Mis à jour à 16h38 :

François Hollande conclut son discours : "Dans une démocratie, ce qui compte ce n'est pas d'être les plus riches ou les plus puissants, mais les plus nombreux. Prenez ce pouvoir qui vous est offert."

"Soyez les plus nombreux, décidez de votre avenir, prenez ce pouvoir qui vous est offert, le pouvoir, c’est celui du peuple français qui l’exerce"

"Donnez-moi la force nécessaire le 22 pour vous conduire à la victoire le 6 mai"

Le candidat socialiste s'offre un bain de foule alors que le public scande "On a gagné".

Mis à jour à 16h35:

Pour François Hollande, "la République" et donc "l'exemplarité de l'Etat" est l'enjeu de 2012.


Mis à jour à 16h29 :

François Hollande décrit le mode de présidence qu'il entend promouvoir, une présidence basée sur la justice, sur la réconciliation nationale, la confiance retrouvée et sur le partage du pouvoir :

"J'écarterai toute mesure qui ne sera pas fondée sur l'équité, sur la justice et sur la conscience de l'égalité", déclare-t-il. "Etre président, c'est donner confiance aux Français".

"Je serai le président de la réconciliation, car c'est ensemble que nous réussirons. Pendant ces 5 dernières années, les Français ont été opposés, stigmatisés. C'est fini!"

Mis à jour à 16h28 :

François Hollande : "Je serai le président d'une République qui sera plus forte que les marchés". "Je ne méconnais pas les forces qui ont autour de nous, je sais ce que sera la difficulté de la tâche mais je ne me soumettrai pas", a-t-il ajouté.

Mis à jour à 16h23 :

Le candidat PS, évoquant la "grandeur de l'Histoire", cite à son tour ses figues tutélaires : Léon Blum, Pierre Mendès France, François Mitterand, Raymond Aubrac, Lionel Jospin.

François Hollande parle de sa politique étrangère : concernant le Sahel, la Syrie ou encire l'Iran, le candidat socialiste annonce : "Nous prendrons nos responsabilités".

"Nous retirerons nos troupes d'Afghanistan et à la fin de l'année, la mission sera considérée comme accomplie", a-t-il ajouté.

Mis à jour à 16h17 :

Le candidat socialiste annonce une renégociation du traité européen s'il est élu président. "L'austérité ne sera pas la seule norme, la seule règle".

Le candidat socialiste invite à une lutte contre toutes les discriminations : discriminations à l'embauche, des femmes ou encore en fonction des orientations sexuelles.

François Hollande à Vincennes : "Pourquoi poursuivre dans un sens qui n'est pas le bon, avec la méthode qui est la pire ? Il faut d'abord tourner la page, fermer la parenthèse, fermer le ban. L'appel que je lance n'est pas le rejet du candidat sortant, mais de porter un projet pour la France. Ma responsabilité est plus élevée (...) : il faut ouvrir un nouveau temps, fixer une nouvelle frontière pour une nouvelle France."

Mis à jour à 16h07 :

Nicolas Sarkozy, après avoir assisté à la diffusion de La Marseillaise, quitte la tribune de la place de la Concorde pour un bain de foule en compagnie de son épouse, Carla Bruni-Sarkozy.

Mis à jour à 16h05 :

Nicolas Sarkozy en évoquant de nouveau les figures de Victor Hugo et du général De Gaulle : "C'est cette France-là dont nous voulons être les héritiers". Le président-candidat s'est ensuite adressé à la foule, l'invitant à "l'aider" : "Prenez votre destin en main, dressez-vous, prenez la parole, dites ce que vous avez sur le cœur, dites ce que vous voulez pour votre pays, n’ayez pas peur, ils ne gagneront pas si vous décidez que vous voulez gagner."

Auparavant, Nicolas Sarkozy a opposé les solutions qu'il propose à celles des autres candidats :"Deux voies sont finalement possibles : l'une imposera les solutions du passé. Au mieux, elle ne résoudra rien (...), au pire, elle découragera la réussite, (...), elle détruira la confiance des investisseurs".

"L'autre voie, c'est celle qui sera tournée vers l'avenir. Je vous propose de tirer les leçons de la crise, de construire un nouveau modèle de croissance. Je vous propose pour la nation la voie raisonnable de l'unité et de l'ouverture au monde.", a-t-il ajouté.

Mis à jour à 16h03 :

Le candidat socialiste annonce qu'il va s'acquitter de la "mission" qui lui a été confiée en octobre dernier : "Vous m'avez demandé de vous rassembler. C'est fait. De réaliser l'alternance. Ca vient. Et de faire le changement. C'est notre objectif".

François Hollande, réagissant à la convocation de la "majorité silencieuse" des travailleurs, des ruraux par Nicolas Sarkozy :"Je récuse cette façon pernicieuse de dresser la moitié de la France contre l'autre. Il n'y a pas une minorité bruyante et une majorité silencieuse. Le bulletin de vote est la plus belle prise de parole qui soit, et la plus belle majorité que je connaisse est celle qui se dégage des urnes."

Mis à jour à 15h55 :

François Hollande : "La droite coalise les craintes, agitent les craintes, réveille les fantasmes. Le candidat sortant connait la difficulté de sa situation. Alors il n'est pas regardant pour effrayer les Français. Il a affirmé que j'allais régulariser tous les sans-papiers, c'est faux. Augmenter les prélèvements, c'est lui qui l'a fait. Sortir du nucléaire, c'est une fable. Il a prétendu être allé lui-même à Fukushima pour faire une étude géologique comparée avec Fessenheim. Vérification faite, il n'y est jamais allé, et il y retournera."

Nicolas Sarkozy évoque le rôle de la banque centrale : l'Europe doit "absolument renouer avec la croissance" pour ne pas perdre pied en Europe. "Si la banque centrale ne soutient pas la croissance, nous n'aurons pas assez de croissance".

Le président-candidat, évoquant le protectionnisme, annonce qu'il ne plaidera "jamais" pour le repliement et affirme qu'il est prêt à "suspendre les accords de Shengen" s'il le faut.

Arrivée de François Hollande à la tribune de Vincennes. 100 000 personnes sont présentes sur l’esplanade du Château de Vincennes, selon Bertrand Delanoë, maire de Paris.

Mis à jour à 15h47 :

"Je vous propose un Etat qui refuse la drogue de la dépense publique", assène Nicolas Sarkozy.

Le président-candidat veut "déconstruire l'Etat bureaucratique pour reconstruire un État entrepreneur".

Nicolas Sarkozy veut "réunir les conditions pour que la France organise les Trente Glorieuses du XXIe siècle".

"Nous n'accepterons aucun élève au collège qui ne sache lire, écrire et compter", l'une des mesures du "nouveau modèle frnaçais" prôné par Nicolas Sarkozy : "Chaque jeune qui choisira l'alternance trouvera une place dans l'entreprise, chaque chômeur aura un droit à la formation, mais aussi un devoir, celui d'accepter un emploi"

"Je veux qu'on récompense l'effort, le mérite, le talent", ajoute-t-il. "La france qui n'aime pas le talent, c'est une France faible".

Mis à jour à 15h45 :

"J'ai toujours pensé que la France, c'était le nom d'une civilisation", déclare Nicolas Sarkozy. "La France n'est pas un pays comme les autres"

Le président candidat cite Péguy, Chateaubriand, Zola, Victor Hugo et Aimé Césaire, dont la France est "l'héritière". Il évoque "La France forte de Valmy, de la résistance, de Jean Monet".

Nicolas Sarkozy, évoquant un "risque de déclin de l'humanité", affirme qu'il faut "de la solidité et de la gravité".

Mis à jour à 15h30 :

Nicolas Sarkozy débute son discours place de la Concorde alors que Bertrand Delanoë s'expirme en ce moment à la tribune de Vincennes.

"J'ai donné rendez-vous à la France (...) qui en a assez qu'on parle en son nom avec des idées qui ne sont pas le siennes", déclare le président-candidat.

"Comment affronter des crises dont on se refuserait à reconnaître l'existence", interroge Nicolas Sarkozy, qui assure vouloir faire campagne "pour la vérité."

François Hollande à Vincennes :


Le Live de François Hollandepar francoishollande

Nicolas Sarkozy place de la Concorde :


Lu sur France TV Info

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