CGT : Philippe Martinez parle du retour aux 32 heures<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Economie
Philippe Martinez, le patron de la CGT.
Philippe Martinez, le patron de la CGT.
©RTL

Retour aux sources

Dans une interview au Journal du Dimanche, le patron de la CGT s'en prend à la loi Macron, aux actionnaires et s'interroge sur les signes de la reprise.

La CGT en a fini avec les travaux de rénovation de l'appartement ou du bureau de Thierry qui ont agité le syndicat ces derniers mois. Place à l'action. Ce programme c'est celui concocté par Philippe Martinez le nouveau secrétaire général de la CGT qui l'assure dans les colonnes du Journal du Dimanche : "On réoccupe notre terrain, celui du social, de la contestation, de la proposition."

Pour se faire, Philippe Martinez s'attaque aux problèmes de fond. Partage du travail, réduction du temps de travail… les discussions avec le gouvernement et le Medef sur les retraites complémentaires s'annonce houleux. Car le secrétaire général souhaite s'attaquer à la "répartition des richesses". "Il y a potentiellement du travail pour tout le monde en France", scande le syndicaliste de Billancourt.

 A l'approche du rendez-vous social organisé en avril par le gouvernement, Philippe Martinez met carte sur table et annonce vouloir "discuter des 32 heures". "Cela serait une vraie réforme allant dans le bon sens pour les salariés", assure le patron de la CGT, dénonçant au passage la proximité des idées de "François Hollande et Manuel Valls avec celles du Medef".

Poursuivant sur le gouvernement, Philippe Martinez ironise sur les signes de reprise. "La reprise, où ça?", s'interroge-t-il dans les colonnes du Journal du Dimanche. Le secrétaire général du "syndicat des travailleurs" dénonce la situation inchangée des salariés. S'attaquant alors aux dividendes versés aux actionnaires et lançant comme défi à Emmanuel Macron, le ministre de l'Economie, d'agir sur cette question.

Lu sur Le Journal du Dimanche

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !