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Santé
Le bisphénol A est-il vraiment dangereux ?
Ces polymères qui font peur aux mères...
Nathalie Hutter-Lardeau
Nathalie Hutter-Lardeau est nutritionniste diplômée d'Etat, et auteur de nombreux ouvrages sur le sujet.
Parmi eux La True Food aux Editions du Moment, dans lequel elle explique comment déguster ses produits préférés en toute lucidité
101 restos, 0 kilo, coécrit avec Nathalie Helal et Catherine Roig (Hachette, mars 2013), Mince Alors ! (Odile Jacob, Juin 2011), Des mots sur les maux du cancer (Mango, 2009) avec le Professeur David Khayat et Wendy Bouchard, et Le vrai régime anti-cancer (Odile Jacob, 2010) avec le Professeur David Khayat et France Carp.
Le bisphénol A contient des polymères qui agiraient négativement sur le développement, la fertilité, la réponse immunitaire et favoriserait les tumeurs cancéreuses. Rien de sympathique.
Concrètement, ce sont des chaînes de molécules qui avec le temps, et surtout sous l’effet de la chaleur, se rompent et migrent dans les aliments avec lesquels ils sont en contact. La dose journalière tolérable de bisphénol A fixe les valeurs limites de migration à 0,6 milligrammes par kilo d’aliment. La bonne nouvelle, c’est que les Français ont un niveau d’exposition moyen très faible.
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