International14 août 2015

Ne pas vendre la peau de l'ours...
Boko Haram : peut-on vraiment gagner des guerres contre-insurrectionnelles ?
Le président du Tchad, l'un des pays concernés par la menace que représente Boko Haram, s'est félicité de la progression de son armée contre le groupe djihadiste. Ce dernier a été "décapité", assure Idriss Déby, persuadé de pouvoir bientôt en finir avec ce danger qui touche toute la région. Il illustre là une fâcheuse tendance à crier victoire un peu trop vite dans ce genre de conflit.