Les Jeux paralympiques de Tokyo se dérouleront à huis clos<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Sport
Un logo officiel des Jeux Olympiques de Tokyo 2020 est visible sur le bâtiment du gouvernement métropolitain de Tokyo, le 7 avril 2021.
Un logo officiel des Jeux Olympiques de Tokyo 2020 est visible sur le bâtiment du gouvernement métropolitain de Tokyo, le 7 avril 2021.
©YUKI IWAMURA / AFP

Carton rouge pour la Covid-19

Face à la menace de l'épidémie de Covid-19 au Japon, les épreuves des Jeux paralympiques de Tokyo se dérouleront sans spectateurs, du 24 août au 5 septembre.

Les Jeux paralympiques de Tokyo se tiendront à huis clos, du 24 août au 5 septembre 2021 au Japon. Les organisateurs ont annoncé cette décision, via un communiqué ce lundi 16 août, après une réunion entre le comité international paralympique, le comité d'organisation de Tokyo 2020, le gouvernement japonais et les autorités de la ville. Le Japon connaît une hausse des contaminations avec plus de 20.000 nouveaux cas positifs à la Covid-19, ce samedi 14 août, selon Reuters.

Les organisateurs ont expliqué leur décision et leur choix de privilégier ce nouveau huis clos alors que la plupart des rencontres sportives se déroulent avec du public dans certains pays européens (le championnat de football de Ligue 1 en France notamment) :

« Au vu de l'état d'urgence sanitaire actuellement en vigueur dans les préfectures de Tokyo, Saitama et Chiba [...] et la situation générale de l'épidémie, des mesures plus restrictives vont être prises pour que les compétitions aient lieu dans ces préfectures, dont le huis clos. (…) Concernant les épreuves en extérieur, les organisateurs demandent au public de ne pas venir regarder les compétitions sur le bord de la route. [...] Tout le monde est encouragé à regarder les Jeux à la maison ».

France Info

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !