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Julie Gayet a touché un petit pactole après la révélation de sa relation avec François Hollande
©Thomas COEX / AFP

L'argent du beurre

L'actrice avait porté plainte contre le magazine Closer pour atteinte à la vie privée.

C'est peu dire que cette "une" avait fait grand bruit... En janvier 2014, le magazine Closer osait ce qu'aucun magazine français n'avait fait avant : publier des photos sur la relation entre un président de la République et une femme qui n'est pas sa compagne. Sur sept pages, le magazine people publiait des photos dans lesquelles on peut voir le président se faire déposer au domicile de Julie Gayet. Casque de scooter sur la tête, on le voyait aussi ressortir discrètement du domicile de l'actrice, alors qu'il était à l'époque en couple avec Valérie Trierweiler.

L'Elysée avait immédiatement condamné dans un communiqué officiel "les atteintes au respect de la vie privée auquel il a droit comme tout citoyen". Si François Hollande, fidèle à la ligne qu'il s'était fixé durant son quinquennat de ne pas porter plainte contre qui que ce soit, n'a pas donné suite, Julie Gayet avait de son côté attaqué le magazine pour atteinte à la vie privée.

5 ans après la polémique, Laurence Pieau, la directrice de la rédaction de Closer écrit dans son édito du 22 mars 2019 que Julie Gayet "obtint au total de Closer 56 000 euros de dommages et intérêts (nets d'impôts)" après la condamnation de Closer par la justice. Mais le magazine s'étant à l'époque vendu à près de 610 000 exemplaires, soit le double de sa diffusion habituelle, il y a de fortes chances qu'il ait été particulièrement rentable...

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