Jennifer Lawrence : attaquée par un blogueur au sujet de son "alcoolisme", l'actrice lui répond dans une lettre piquante <!-- --> | Atlantico.fr
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L'actrice Jennifer Lawrence
L'actrice Jennifer Lawrence
©Mike Blake / Reuters

Retour de bâton

La jeune actrice n'y va pas de main morte et ridiculise complètement le journaliste.

Tout le monde le sait désormais : après les Oscars, Jennifer Lawrence, très alcoolisée, a vomi chez Madonna. C'est pourquoi, le 1 mai, sur le site Esquire.com, le journaliste Ned Hepburn rédigeait une lettre ouverte à l'intention de la jeune actrice au sujet de son penchant pour l'alcool. Plein de condescendance, le papier commençait par : "Chère Jennifer. Puis-je vous appeler Jenny ? Ok Jenny. Asseyons-nous pour parler un moment… "Ce à quoi cette dernière a répondu, non sans humour, dès le lendemain, sur le même modèle : "Cher Ned, puis-je vous appelez Neddy ? Ok Neddy…"

La jeune actrice (ou du moins son service de communication) n'y va pas de main morte et ridiculise complètement le journaliste. "J'ai entendu dire que vous aviez entendu dire que j'étais tombée aux Oscars et que j'étais saoule à ce moment-là", lance Jennifer Lawrence. "Vous savez comment je sais que vous n'êtes pas un amateur ? C'est quand vous me dites "Bébé parlons". Vous êtes mignon, vraiment adorable, et vous pensez vraiment avoir de l'autorité sur moi. Et cela se comprend. Car vous êtes un homme. Et moi une jeune femme et j'ai eu l'audace de sortir faire la fête et de m'arracher la gueule la nuit où l'industrie pour laquelle je travaille donnait la plus grosse fête de l'année." (…) "Merci d'admettre que, vous aussi, vous vous bourrez la gueule de temps en temps et de reconnaître que cela doit vraiment être difficile d'être une belle femme. En fait, c'est pas si dur. Et quand ça le devient, je pense juste "Merde, je suis vraiment douée dans ce que je fais, dans mon boulot !"". 

Et de conclure : "J'imagine que je ne peux juste pas arrêter de penser à quel point ça fait mal qu'un jour vous pensiez que ce que j'avais fait était mignon et qu'ensuite vous aviez découvert que j'étais saoule à ce moment-là et qu'après vous n'avez plus trouvé ça mignon (...) Quand j'étais une petite fille grandissant à Louisville, un soir alors que je regardais le ciel, j'ai pensé : "Dieu, s'il vous-plait, faites que mon comportement soit exactement conforme aux désirs de ce blogueur", et à ce moment précis, je vous le jure, une étoile filante a traversé le ciel. Donc je sais que mon rêve doit devenir réalité, Neddy. Vos désirs sont mes ordres. Merci." 

En bref, ne pas chercher de noises à la gagnante du Hunger Game.  

Lu sur Thehairpin.com

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