Les troubles de l'audition comme signe du déclin cognitif, des variations génétiques qui prédiraient l’espérance de vie ?<!-- --> | Atlantico.fr
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Les troubles de l’audition pourraient être le marqueur du déclin cognitif.
Les troubles de l’audition pourraient être le marqueur du déclin cognitif.
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Et aussi : ces neurones qui aiment les massages et les caresses, Kepler sauvé et en chasse de nouvelles superterres, et l'humanité condamnée à devenir de plus en plus bête

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Les troubles de l'audition sont-ils le signe du déclin cognitif ?

Les troubles de l’audition pourraient être le marqueur du déclin cognitif. C’est du moins la conclusion qui ressort d’une étude menée sur près de 2.000 personnes âgées. Celles qui ont perdu leur ouïe réussissaient moins bien les tests évaluant les capacités intellectuelles. Pourquoi ? Cela reste un mystère.

Selon un travail américain, la perte d’audition serait associée à une accélération des troubles cognitifs chez les personnes âgées. Si le lien de cause à effet est prouvé, les auteurs ne parviennent pas à en apporter l’explication. Ce sera d’ailleurs l’objet de leurs prochaines recherches.

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Des variations génétiques qui prédiraient l’espérance de vie ?

Une étude inédite comparant les génomes d’enfants et de personnes âgées vient de révéler des marqueurs génétiques potentiellement impliqués dans l’espérance de vie. Ce travail pionnier, encore préliminaire, pourrait ouvrir de nouvelles voies pour prévenir certaines maladies.

Notre durée de vie est partiellement contenue dans nos gènes. Si l’environnement, à travers l’exposition aux polluants, aux pathogènes, à l’alimentation et aux conditions de vie, influe sur la longueur de notre existence, des études réalisées sur des membres de la même famille ont révélé que l’ADN avait également de l’influence.

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Science décalée : ces neurones qui aiment les massages et les caresses

Besoin d’un moment de détente ? Envie d’un bon massage ? Et si un simple médicament pouvait procurer cette sensation ? Cette semaine, la science décalée s’intéresse à ces neurones particuliers chez la souris qui ne s’activent que lors des caresses. En les stimulant à l’aide d’une substance chimique, les rongeurs ont semblé prendre du plaisir. La bonne nouvelle, c'est qu'il existerait semblable structure chez l’Homme…

Le toucher est un sens plus complexe qu’il en a l’air. Qu’on se pique sur des épines ou qu’on soit caressé par la plume d’un oiseau, les sensations émanant des nerfs sont complètement différentes et même antagonistes. L’organisme sait faire la distinction car les deux situations n’activent pas les mêmes populations de neurones.

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Kepler est sauvé et chasse de nouveau les superterres

Bonne nouvelle pour les exobiologistes : Kepler, le chasseur de superterres, est à nouveau opérationnel. Après le « décès » de Corot, on pouvait craindre il y a quelque temps qu’il soit suivi de celui de son cousin de la Nasa. Mais heureusement, un repos forcé de dix jours semble bien avoir permis à Kepler de redevenir manœuvrable.

Le 17 janvier 2013, les ingénieurs en charge du satellite Kepler constataient un inquiétant problème de friction au niveau de l’une des trois roues de réaction restantes de ce chasseur d’exoplanètes. À terme, l'incident risquait d'empêcher de conserver l'orientation de l'instrument vers la portion de la Voie lactée qu’il scrute sans relâche pour découvrir des transits planétaires. Ces roues permettent en effet de corriger des dérives sans recourir à des propulseurs alimentés par du carburant, ce qui allège la charge utile lors d’un lancement.

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Sommes-nous condamnés à devenir de plus en plus bêtes ?

Le chercheur américain Gerald Crabtree est un pessimiste. Selon lui, depuis le développement de l’agriculture, l’humanité perd peu à peu ses capacités intellectuelles. La faute à un manque de sélection des gènes qui nous rendent intelligents.

L’humanité n’a pas toujours été ce qu’elle est aujourd’hui. À une époque pas si reculée, tous nos ancêtres vivaient dans des tribus de chasseurs-cueilleurs, comme il en existe encore aujourd’hui en divers points du globe. Grâce à ce gros cerveau, une partie des Hommes s’est affranchie de cette vie de nomade en apprenant à cultiver les plantes et à élever les animaux.

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